Je suis professeur de physique et j’apporte mes compétences en matière de vidéo à AE911Truth (Architecte&Ingérieurs pour la Vérité sur le 11/9). J’utilise un outil logiciel qui fractionne une vidéo, image par image, ce qui me permet de placer un marqueur sur un objet de façon à suivre son mouvement. Je me sers ensuite d’une distance connue dans la vidéo pour calibrer mes mesures; je suis en mesure de générer des tableaux et des graphiques pour analyser le mouvement en détail.
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Lorsque, en août 2008, le NIST a publié son projet de rapport sur le WTC7, soumis aux commentaires du public, celui-ci contenait l’affirmation selon laquelle le bâtiment 7 était tombé à une vitesse plus lente, (de l’ordre) de 40 %, que celle de la chute libre. J’ ai répondu en utilisant les propres données du rapport du NIST pour étalonner précisément une analyse vidéo montrant que le bâtiment 7 est tombé avec une accélération indifférenciable de la chute libre durant presque 2,5 secondes. Ceci équivaut approximativement à une chute de huit étages, sans résistance d’aucune sorte. Un objet ne peut agir [sur l’effondrement] alors qu’il est en chute libre. Donc, les huit étages de la structure de soutien ont dû être éliminés par autre chose que la portion de l’édifice en chute. A ce sujet, mon travail vidéo, soutenu par d’autres membres de AE911Truth, a été l’origine de plusieurs objections officielles au rapport du NIST (*). À la surprise générale, en Novembre, lors de la publication de son rapport final, le NIST a fait volte face sur la question de la chute libre. Ils ont fait leur propre mesure, qui, pour l’essentiel concorde avec la notre ! Ils ont tenté de masquer l’importance de cette conclusion, reconnaissant cependant que cela signifierait qu’il n’y aurait "pas de structure", sans admettre que cela pouvait seulement signifier que les colonnes avaient du être "supprimées".
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Une de mes récentes mesures vidéos concernait l’accélération de la section supérieure du WTC1 lorsqu’elle a commencé à tomber. J’ai trouvé qu’elle a subi une accélération constante, soit environ 64% de l’accélération de la pesanteur, durant tout le temps où le toit est visible. Cette mesure n’était pas la seule. Elle confirmait une précédente mesure du même mouvement faite par Graeme MacQueen et Tony Szamboti. Mais en analysant les forces mises en œuvre, j’ai acquis une remarquable certitude. Tant que la section supérieure de la construction continue son accélération vers le bas, la force nette doit être vers le bas, de sorte que la force ascendante doit être inférieure à son poids: en fait, à seulement 36% de son poids. Selon la troisième loi de Newton, la force qu’elle exerçait sur la partie inférieure du bâtiment doit également n’avoir été que de 36% de son poids. Par conséquent, tant que l’accélération s’est poursuivie, cela n’a pas exercé une force suffisante pour écraser la partie inférieure du bâtiment. Cela apporte pourtant une nouvelle preuve, du fait que des forces autres que la gravité étaient en oeuvre, prouvant ainsi que des explosifs ont été utilisés pour démolir la partie inférieure du bâtiment, permettant à la partie supérieure d’accélérer à travers les débris. Je suis en train d’écrire un article qui sera soumis à une revue de pairs, sur la base de mes conclusions concernant l’accélération verticale du WTC1.
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[ Voir la traduction des 5 vidéos réalisées par David sur la chaine ReOpen911.info]
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Pascal