L’équipe d’ABC se réfugie aussitôt dans un parking souterrain. C’est alors la panique : des nuages de poussière s’infiltrent jusqu’au sous-sol de cet immeuble pourtant lointain par rapport à l’emplacement de la tour détruite.
Celle-ci finira par s’effondrer symétriquement et sur sa propre empreinte en raison, officiellement, de feux de bureaux.
Auparavant, un autre caméraman était parvenu à accéder au sein de la Tour 7 dans lequel un agent du Secret Service est aperçu (à 2’20) en train de s’affairer pour s’assurer, affirme-t-il, qu’il n’y ait plus personne à l’intérieur.
« Implosion » contre « écroulement »
L’un des débats qui continue d’agiter la communauté des chercheurs indépendants sur les attentats du 11-Septembre concerne la cause exacte de la destruction des trois tours. Aujourd’hui encore, cette question est souvent éludée par les médias classiques comme l’illustre incidemment ce récent reportage de l’Agence France-Presse. Interrogeant une rescapée, la journaliste a cru bon de traduire (à 1’30) un extrait de son témoignage-durant lequel elle évoque une « implosion »- par le terme d’ « écroulement ».
Egger Ph.