"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

22 janvier 2009

Citations sur le 11/9

.
Le Lieutenant-Colonel Robert Bowman (retraité), 101 missions de combat à son actif, ancien directeur du ‘Advanced Space Programs Development’ de l’US Air Force, a servi sous les administrations Ford et Carter, diplômé en aéronautique et en ingénierie nucléaire :
« Étant un ancien pilote d’avion intercepteur, je connais la procédure car je l’ai pratiquée. Je connais le temps nécessaire, je connais les règles [...]. Les critiques qui disent de la version du gouvernement sur le 11 septembre ‘Eh bien, ils étaient au courant et ils n’ont rien fait’. Ce n’est pas vrai. Si notre gouvernement n’avait rien fait cette journée-là, et s’il avait permis que la procédure normale suive sont cours, ces avions, peu importe où ils se trouvaient, auraient été interceptés, les tours jumelles seraient encore intactes et des miliers d’américains décédés seraient toujours en vie. »

Le Colonel Ronald D. Ray (retraité), ancien assistant-auxiliaire au secrétaire de la Défense de l’administration Reagan; vétéran de la guerre du Vietnam :
« Je serais stupéfait que la théorie de complot présentée par l’administration [américaine] s’avère vraie, et les preuves ne semblent pas suggérer que ce soit le cas. » Le Colonel Ray utilisa également l’expression « the dog that doesn’t hunt » pour décrire la version officielle du gouvernement sur les attentats. Cette expression anglophone est utilisée par quelqu’un qui doute fortement de la plausibilité d’une proposition donnée.Robert David Steele, ex-Marine responsable aux services de renseignements américains pendant 20 ans, ainsi qu’ancien agent secret de la CIA :« Le 11 septembre s’est au minimum vu permettre de survenir en tant que prétexte de guerre. »

Bill Christison, ancien analyste et haut responsable à la CIA, pour laquelle il a travaillé pendant 28 ans :
« Je pense maintenant qu’il y a des preuves convaincantes que les événements de septembre ne se sont pas déroulés tel que l’administration Bush et la Commission sur le 11 septembre voudraient qu’on le croit. [...] Tous les trois [édifices qui furent détruits au World Trade Center] ont fort probablement été détruits par des charges de démolition contrôlée placées dans les édifices avant le 11 septembre. »

Jesse Ventura, ancien gouverneur du Minnesota de 1999 à 2003; ancien Navy SEAL formé notamment dans le domaine des explosifs :« [...] En tant qu’ancien militaire et gouverneur à ce moment, lorsque les attaques sont survenues je suis passé en mode de focalisation avec des oeillères, me disant que notre pays avait été attaqué et me demandant ce qu’il fallait faire pour répondre à l’attaque. Aujourd’hui, je me reproche cela parce qu’à l’époque, j’étais en position de pouvoir et si je n’avais pas réagi ainsi, de la manière que nous avons tous été tellement surpris lorsque c’est arrivé, j’aurais alors pu soulever plusieurs questions à propos des événements qui se sont produits cette journée-là. Car, naturellement, lorsque je soulève ces questions aujourd’hui, l’impact n’est pas le même qu’il l’aurait été à l’époque. [...] Comment se fait-il que le troisième édifice [Building 7] se soit effondré cinq heures plus tard? [...] Comment cet édifice peut-il avoir implosé sur lui-même cinq heures plus tard? [...] Comment ces édifices peuvent-ils s’écrouler à la vitesse de gravité? [...] Le carburant d’avion est constitué à 80% de kérosène, qui n’est pas un combustible qui brûle à hautes températures; ils veulent que nous croyions que c’est ce qui a fait fondre les poutres d’acier et provoqué l’effondrement. [...] Après avoir examiné les images au super-ralenti, de la manière que les édifices se sont effondrés et en comparant cela à une démolition contrôlée d’un hôtel à Las Vegas, ils se sont écroulés de façon identique. [...]»

Andreas von Bulow, ancien chef des services secrets allemands :
« La version officielle est si inadéquate et tirée par les cheveux qu’il doit exister une version différente. »

Michael H. Meacher, membre du Parlement britannique :
« La guerre au terrorisme est une invention. [...] Il est clair que les autorités américaines ont peu ou rien fait pour prévenir les événements du 11 septembre. [...] Le 11 septembre a offert un prétexte extrêmement commode pour mettre en marche le plan de PNAC (Project for a New American Century). Les preuves sont encore une fois très claires que les plans d’action militaire contre l’Afghanistan et l’Irak se trouvaient entre leurs mains bien avant le 11 septembre. »

Paul Craig Roberts, ancien sous-secrétaire au Trésor de l’administration Reagan :
« Je débuterai en affirmant ce que nous connaissons comme étant un fait scientifique solide et irrécusable. Nous savons qu’il est strictement impossible pour quelque édifice que ce soit, encore moins des édifices à la strucure d’acier, de s’effondrer à la vitesse d’une chute libre. Par conséquent, c’est un fait non discutable que l’explication officielle de l’effondrement des édifices du World Trade Center est fausse. [...] Puisque ce fait irrécusable et incriminant n’a pas fait l’objet d’investigation, la spéculation et les ‘théories de complot’ ont comblé le vide. »

Robin Hordon, ancien contrôleur aérien du Boston Center pendant onze ans, ainsi qu’ancien pilote commercial et instructeur de vol :
« Je savais dans les heures qui ont suivi les attaques du 11 septembre que c’était un coup de l’intérieur. [...] Je déclare sans équivoque qu’il est absolument impossible que quatre gros avions de ligne commerciaux aient pu circuler hors trajectoire pendant 30 à 60 minutes le 11 septembre sans être interceptés et s’être faits descendre par nos avions chasseurs, à moins que des gens très haut placés dans notre gouvernement et dans l’armée aient désiré que ça se produise. »

Le Général Wesley Clark, quatre étoiles, retraité de l’armée des États-Unis, carrière cumulative de 34 ans dans l’armée américaine et au Département de la Défense, récipiendaire de multiples honneurs militaires :
« Nous n’avons jamais complété l’investigation sur le 11 septembre à savoir si l’administration a fait mauvais usage des renseignements qu’elle détenait. Les preuves semblent très claires à mes yeux, c’est mon opinion depuis longtemps. »

Daniel Ellsberg, ancien analyste militaire américain; ancien commandant de troupes dans les Marines; célèbre pour avoir sacrifié sa carrière en 1971 en rendant publics les ‘papiers du Pentagone’ sur la guerre du Vietnam :
« Il me semble très plausible que le Pakistan ait été très impliqué dans ceci [le 11 septembre]... Et pour moi, qui dit Pakistan dit CIA parce que [...] on peut difficilement soutenir que le ISI [services secrets du Pakistan] savait quelque chose que la CIA ignorait. »

Dennis Kucinich, candidat démocrate aux élections présidentielles américaines de 2008; membre du Congrès américain depuis six mandats (Ohio); membre du Comité de l’Éducation et de la Main d’Oeuvre; ancien maire de Cleveland, Ohio :
« Il faut comprendre que partout dans le pays, les gens sont inquiets et se demandent s’ils se sont faits dire la vérité au sujet du 11 septembre. Et cette manière avec laquelle l’administration [Bush] s’est occupé du 11 septembre, en nous entraînant dans une guerre contre l’Irak qui n’avait rien à voir avec le 11 septembre, a augmenté les doutes des gens quant à la possibilité qu’il pourrait y avoir un ‘cover up’. Car pourquoi le gouvernement mentirait-il à propos d’un prétexte de guerre? Alors, tout ce que je dis, c’est que je respecte les inquiétudes que les gens ont lorsqu’ils se demandent si on leur a dit la vérité ou non. »

Ray McGovern, ex-agent de la CIA pendant 27 ans; chargé pendant des années de la préparation des exposés présidentiels relatifs aux services de renseignements pour Ronald Reagan ainsi que George H.W. Bush :
« Je crois que, dans les termes les plus simples, il y a un ‘cover-up’. Le rapport [de la Commission] sur le 11 septembre est une farce. La question est : qu’est-ce qui est dissimulé? [...] Il existe un paquet de questions sans réponses. Et la raison pour laquelle elles demeurent sans réponses est que cette administration [Bush] ne veut pas répondre aux questions. [...] En bout de ligne, à mon avis, tout comme Hitler a cyniquement exploité en 1933 l’incendie de l’édifice parlementaire, le Reichstag, c’est exactement ce qu’a fait notre Président en exploitant le 11 septembre. La manière cynique avec laquelle il a joué sur notre traumatisme, l’a utilisé pour justifier une attaque [militaire], déclencher une guerre d’agression sur un pays en sachant que celui-ci n’avait rien à voir avec le 11 septembre. »

Dr Morgan Reynolds, ancien chef-économiste au Ministère du Travail sous l’administration de George W. Bush, en 2001-2002 :
La version officielle sur les attentats du 11 septembre est « pleine de trous, partout où l’on regarde, ça ne tient pas la route. »

Russ Wittenberg, ancien pilote commercial pendant plus de 30 ans; ancien pilote de l’US Air Force avec plus de 100 missions de combat au Vietnam à son actif :
« J’ai piloté deux des vols qui furent détournés le 11 septembre, les vols 175 et 93. [...] Je ne crois pas qu’il soit possible pour un soi-disant terroriste de s’entraîner sur un [Cessna] 172 et d’ensuite sauter dans un cockpit de type [Boeing] 757-767, de naviguer verticalement l’avion, de naviguer latéralement l’avion, et de piloter l’avion à des vitesses qui excèdent ses limites de conception par bien au-delà de 100 noeuds, d’effectuer des virages à haute vitesse et haute inclinaison, atteignant probablement 5, 6, 7G. Je ne pourrais pas le faire, et je suis absolument positif qu’ils ne pourraient pas le faire. »

Melvin Goodman, ancien chef de division et analyste haut gradé à la CIA pendant 24 ans; enseignant de Sécurité internationale au National War College de 1986 à 2004 :
« Le rapport final [de la Commission sur le 11 septembre] est en bout de ligne un ‘cover-up’. »

Giulietto Chiesa, membre du Parlement Européen (Italie) depuis 2004; membre de la Commission sur le Commerce International; journaliste de 1980 à 2004 :
« Il y a quatre ans, un énorme événement médiatique changea le cours du monde. Des milliards de personnes ne reçurent qu’une seule explication sur le sujet, et elle est entièrement fausse. Par conséquent, quiconque ose la questionner se fait traiter de fou. Tout est déjà prévu et ça restera ainsi pour les cent prochaines années. Les médias demeurent muets. Je crois que vous savez de quel événement je parle; le 11 septembre. [...]»

Louis Freeh, ancien directeur du FBI de 1993 à 2001; ancien agent du FBI; ancien juge de tribunal départemental des États-Unis :
« La commission sur le 11 septembre obtient la mention ‘I’ – incomplet – pour sa négligence concernant Able Danger. »

Le Lieutenant-Colonel Steve Butler, renvoyé de l’Armée américaine après 24 ans dans la US Air Force suite à l’écriture d’une lettre contenant notamment ces propos :
« Évidemment que Bush était au courant de l’imminence des attaques sur l’Amérique. Il n’a rien fait pour avertir le peuple américain car il avait besoin de cette guerre contre le terrorisme. »

Francesco Cossiga, ancien Président italien de 1985 à 1992 :
« [...] Tous les milieux démocratiques d’Amérique et d’Europe, incluant de toute évidence celui de la centre-gauche italienne, savent maintenant parfaitement que la terrible attaque a été planifiée et réalisée par la CIA américaine ainsi que le Mossad, avec l’aide des cercles sionistes pour permettre l’accusation des pays arabes et intervenir en Irak et en Afghanistan. [...] »

John Loftus, ancien procureur fédéral au Bureau des Investigations spéciales du Département de la Justice des États-Unis sous les présidents Jimmy Carter et Ronald Reagan; ancien officier de renseignements de l’armée américaine :
« L’information fournie par les services de renseignements européens avant le 11 septembre était si poussée qu’il n’est plus possible pour la CIA ni pour le FBI de se défendre en prétendant l’incompétence. »

Amir Khadir, porte-parole du parti politique provincial Québec Solidaire :
« La question se pose : quelle crédibilité faut-il accorder aux théories conspirationnistes? De manière plus directe, les américains seraient-ils impliqués dans les attentats du 11 septembre? Moi je pense qu’il faut être extrêmement prudent. Et je pense que la prudence primordiale, c’est de ne pas rejeter du revers de la main ces théories-là, de demander une enquête sérieuse et indépendante des pouvoirs publics. [...] Je trouve que c’est un peu léger de taxer ça de théories du complot et de dire que ça n’a aucune crédibilité. Car les enjeux sont immenses, aux plans du contrôle des ressources, des débouchés stratégiques pour les armes. Il est à tout le moins raisonnable de penser qu’il peut y avoir eu conspiration. Sachant ce qui s’est produit dans le passé, on a le devoir de fouiller. [...]»

Le Colonel George Nelson, ancien investigateur d’accidents d’avion de la US AirForce et contrôleur de pièces d’avion; 34 ans de carrière dans la US AirForce; pilote commercial :
« Le gouvernement allègue que quatre énormes avions de ligne se sont écrasés au matin du 11 septembre, provoquant la mort de plus de 3000 personnes, pourtant aucune pièce d’avion constituant une preuve solide ne fut présentée pour tenter d’identifier catégoriquement l’un ou l’autre des quatre avions. Au contraire, il semble que toutes les preuves potentielles furent délibérément cachées hors de la vue du public. Avec toutes les preuves présentes sur le site d’écrasement du Pentagone, tout investigateur rationnel et impartial ne peut que conclure qu’un Boeing 757 ne s’est pas écrasé contre le Pentagone tel que prétendu. Pareillement, avec toutes les preuves disponibles au site d’écrasement en Pennsylvanie, il est hautement incertain qu’un avion de ligne ait causé le trou évident dans le sol, certainement pas un Boeing 757 tel que prétendu. Aussi pénibles et déchirants que sont la perte de vies innocentes et les problèmes de santé persistants de milliers d’autres, une probabilité hautement dérangeante et terrifiante demeure que de nombreux américains semblent être impliqués dans le complot le plus odieux de toute l’histoire de notre pays. »

Max Cleland, ancien Sénateur américain, vétéran de la guerre du Vietnam; ancien commissaire de la Commission d’enquête sur les attentats du 11 septembre, démissionna de ce poste en déclarant :
« C’est un scandale national. Cette investigation est maintenant compromise. [...] Un de ces jours, nous devrons obtenir l’histoire complète du 11 septembre car le sujet est tellement important pour l’Amérique. Mais la Maison Blanche désire la dissimuler. »

Le Capitaine Eric H. May, ancien responsable au service des renseignements et aux affaires publiques de l’armée des États-Unis; ancien éditorialiste pour NBC :
« La manière la plus simple de perpétrer une attaque ‘sous faux pavillon’ [false flag] est d’organiser un exercice militaire qui simule précisément l’attaque telle que vous désirez qu’elle se produise. [...] C’est exactement de cette manière que des malfaiteurs au sein des gouvernements des États-Unis et de l’Angleterre ont arrangé les attaques ‘terroristes’ du 11 septembre et du 7 juillet, qui étaient en réalité des attaques blâmées sur des ‘terroristes’. [...] Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis et du 7 juillet 2005 en Angleterre comportent tous deux des preuves flagrantes que les assassins de masse n’étaient pas des terroristes étrangers mais bien des tyrans domestiques. [...] Nous ne pouvons arrêter la dérive mortelle de l’Amérique qu’en comprenant le 11 septembre et en prévoyant le prochain attentat du même genre. [...]»

James Quintiere, ancien dirigeant de la Division Scientifique des Incendies de la NIST (National Institute of Standards and Technology) – l’agence fédérale américaine qui enquêta sur les effondrements au World Trade Center :
« Je souhaiterais qu’il y ait une révision de [l’enquête de la NIST sur les effondrements du 11 septembre] par d’autres professionnels. Je crois que toute la documentation que la NIST a assemblée devrait être archivée. J’aimerais réellement voir quelqu’un d’autre jeter un oeil à ce qu’ils ont fait, autant du point de vue structurel que du point de vue des incendies. Je pense que la conclusion officielle à laquelle la NIST est parvenue est questionable. Examinons les vraies alternatives qui peuvent avoir été la cause des effondrements au World Trade Center et comparons-les avec la cause officielle. [...]»

Scott Ritter, ancien inspecteur en chef d’armes aux Nations-Unies de 1991 à 1998; ancien officier aux renseignements dans les Marines américains pendant 12 ans :
« Nous avons la nécessité absolue de savoir ce qui s’est produit le 11 septembre et aucune pierre ne doit demeurer non tournée. Le rapport de la commission sur le 11 septembre n’a pas été à la hauteur de sa tâche et il se doit d’y avoir une réouverture de l’enquête pour que nous, le peuple des États-Unis, sachions ce qui s’est produit lors de cette horrifique journée. [...] Est-ce que Bush et Cheney avaient planifié la chute des édifices? Est-ce que c’était une attaque terroriste par Al Qaeda? Ou était-ce quelque chose à mi-chemin? Honnêtement, nous ne le savons pas car les données ne sont pas toutes disponibles [...]. »

Le Major-Général Albert Stubblebine, retraité, ancien dirigeant de l’US Army Intelligence and Security Command :
« L’une de mes expériences était de diriger la division d’interprétation des images de l’Armée pour en tirer des renseignements scientifiques et tactiques pendant la Guerre Froide. Je mesurais des pièces d’équipement soviétiques à partir de photographies. C’était mon bouleau. Quand j’ai vu le trou dans le Pentagone, j’ai regardé le format d’un avion qui était sensé avoir percuté le Pentagone, et j’ai dit ‘l’avion ne rentre pas dans ce trou’. Alors, qu’est-ce qui a frappé le Pentagone? Qu’est-ce que c’était? Où est-ce? Qu’est-ce qui se passe? »

Dwain Deets, ancien directeur des projets aérospaciaux au Centre de Recherche Aérienne Dryden de la NASA; récipiendaire du Trophée pour Travail Exceptionnel de la NASA et autres mérites :
« Les nombreux supports visuels (pièces structurelles massives projetées horizontalement, énormes nuages pyroclastiques, etc.) ne laissent aucun doute dans mon esprit que des explosifs furent utilisés [dans la destruction du World Trade Center]. »

Yukihisa Fujita, membre du Parlement japonais, Parti Démocratique. Lors d’une déclaration officielle le 11 janvier 2008, M. Fujita confronta les membres du Parlement du Japon à plusieurs faits et informations couvertes dans cet ouvrage :
« [...] Ce que je désire savoir, c’est si cet événement [le 11 septembre] fut causé par Al Qaeda ou non. Jusqu’ici, la seule chose que le gouvernement [japonais] a dite, c’est que nous croyons que ce fut causé par Al Qaeda parce que c’est ce que le président Bush nous a affirmés. [...] Puisque je dispose de peu de temps, j’aimerais poser quelques questions à propos d’informations suspectes qui ont vu le jour et sur les doutes que les gens ont partout autour du monde sur les événements du 11 septembre. Plusieurs de ces personnes qui doutent sont des gens très influents. [M. Fujita présentait ensuite des photos du trou dans le Pentagone, attestant que les dommages étaient insuffisants pour avoir été causés par un Boeing; mettait en doute le manque de réaction de la défense aérienne; soulignait des témoignages de pompiers qui avaient rapporté des explosions; questionnait l’effondrement du Building 7; mettait l’emphase sur la désintégration des avions et la disparition des boîtes noires; mentionnait les ‘put options’, ainsi que plusieurs autres sujets.] [...] Nous devons nous demander qui sont les véritables victimes de la guerre contre la terreur. Je crois que les citoyens du monde en sont les victimes. [...] Nous devons regarder les preuves et nous demander ce qu’est réellement la guerre contre le terrorisme. Je peux voir les ministres signaler leur accord d’un hochement de tête, mais j’aimerais poser la question au Premier Ministre Fukuda. Regardez-moi s’il vous plaît. [...]»

Jack McLamb, président de l’American Citizen and Lawmen Association; ancien négociateur du FBI lors de prises d’otages; ancien officier de police à Phoenix, Arizona – où il détient le record pour un policier ayant reçu le plus de distinctions honorifiques de l’histoire de cette ville; vétéran de l’armée américaine :
« [...] Vos auditeurs et les gens que vous connaissez savent probablement cela, mais le commun des américains n’a aucune idée de la quantité de preuves qui existent, en fait, pour confirmer les déclarations qu’Oklahoma City, le premier attentat à la bombe du World Trade Center [1993], le deuxième attentat à la bombe du World Trade Center [11 septembre] furent tous orchestrés et notre gouvernement était au courant de cela. [...] Alors tout est orchestré, et il va y avoir encore plus de terrorisme parce que c’est la façon la plus facile de faire non seulement supplier le peuple américain pour que la loi martiale soit déclarée mais aussi pour qu’ils l’exigent de leurs responsables. Quand ils auront suffisamment peur, ils abandonneront tout pour avoir la sécurité. [...]»

Le Lieutenant-Colonel Jochen Scholz, ancien officier de l’AirForce allemande et de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord); 38 ans de carrière dans l’AirForce :
« Parmi les nations de l’OTAN, la règle générale est qu’à l’intérieur de 10 à 15 minutes d’une alarme, des avions doivent avoir décollé. C’est exactement ce qui ne s’est pas produit pendant deux heures [le 11 septembre]. Pas un seul avion chasseur n’a tenté de forcer un des avions [détournés] à atterrir ou l’investiguer, ou quoi que ce soit d’autre. [...] Et les écrans de fumée qui furent présentés par le comité d’enquête officiel du Congrès expliquant que cette journée-là, un nombre incroyable d’exercices de l’Air Force étaient en cours, et que tout le monde était confus et incapables de différencier la vraie vie des exercices; cela est tout simplement incompréhensible pour quelqu’un qui a de l’expérience en défense aérienne. Parce que ces exercices, en ce qui concerne le contrôle du trafic aérien et la défense aérienne, sont toujours séparés de la vraie vie [...]. »

Richard Humenn, ancien ingénieur en chef chargé de la conception du système électrique du World Trade Center :
« J’ai été directement lié aux projets en cours au World Trade Center pendant environ 35 ans avant de prendre ma retraite à la mi-1997. Même si j’étais ingénieur électrique de métier, j’étais également très familier avec les structures et les paramètres des plans de conception. Le 11 septembre, j’observais avec incrédulité l’effondrement progressif des tours du World Trade Center en direct à la télévision, alors que la masse et la force de la structure auraient dû survivre aux dommages locaux causés par les avions et le kérosène en combustion. [...] Le kérosène et les avions n’ont pas à eux seuls jeté les tours au sol. Je supporte donc la proposition de former un groupe de professionnels international pour enquêter sur toutes les causes plausibles ayant causé l’effondrement à une vitesse comparable à celle de la chute libre et sur la destruction presque totale des structures du World Trade Center. »

Le Capitaine Gregory M. Zeigler, ancien officier aux renseignements militaires des États-Unis :
« J’ai su à partir du 18 septembre 2001 que la version officielle sur le 11 septembre était fausse. [...] Les anomalies se sont vite présentées en grand nombre : les noms des pirates de l’air ne figuraient sur aucun des manifestes de passagers publiés, les reportages de la BBC sur l’identité volée des présumés terroristes ou que ceux-ci se sont avérés vivants, les démolitions évidentes des tours WTC 1, 2 et 7, l’absence de débris d’un Boeing 757 au Pentagone. [...]»

Fred Burks, ancien interprète des présidents George W. Bush, Bill Clinton, des vice-présidents Dick Cheney et Al Gore, des secrétaires d’État Colin Powell et Madeleine Albright; 18 ans de carrière au Département d’État :
« Comment est-ce possible que les systèmes militaires de détection de missiles hautement vantés ne purent pas localiser le vol 77 durant les 42 minutes qu’on le savait égaré, avant qu’il ne s’écrase au coeur même du système de défense des États-Unis? [...] Une question encore plus importante est, pourquoi est-ce que nos médias ne posent pas ces questions? Pour quelle raison l’armée ne dépense-t-elle pas plusieurs millions pour découvrir pourquoi les systèmes de défense militaires ont échoué le 11 septembre? Pourquoi le budget de la commission sur le 11 septembre était-il beaucoup moins important que les budgets alloués au désastre de la navette Challenger ou encore à l’affaire Monika Lewinsky? »

Le Général Mirza Aslam Beg, ancien chef d’État Major de l’armée pakistanaise :
« Plusieurs d’entre nous dans la région croient qu’Oussama et Al Qaeda ne sont pas responsables des attaques du 11 septembre à New York et Washington, mais la coalition dirigée par les États-Unis est tout de même occupée à s’en prendre à l’Afghanistan, à poursuivre leurs objectifs qui vont bien au-delà d’Oussama Ben Laden. Les informations qui font maintenant surface tendent à démontrer que l’implication d’éléments ‘rebelles’ au sein des milieux militaires et de renseignements des États-Unis devient plus évidente. Oussama Ben Laden et Al Qaeda ne possédaient définitivement pas le savoir-faire ou les capacités pour exécuter de telles opérations nécessitant une coordination d’une aussi haute précision, d’après mes connaissances et mes compétences. »

Horst Ehmke, ancien coordinateur des services secrets de l’Allemagne de l’Ouest; ancien ministre de la Justice; ancien ministre des Affaires spéciales :
« Des terroristes n’auraient pas pu perpétrer une telle opération impliquant quatre avions détournés sans le soutien de services secrets. »

Ron Paul, candidat républicain aux élections présidentielles de 2008; actuellement dans son neuvième mandat au Congrès américain (Texas); membre du Comité des Services financiers du Congrès; membre du Comité sur les Relations internationales; membre du Comité Économique conjoint; médecin généraliste et ancien chirurgien de l’US AirForce :
« Les investigations gouvernementales, en règle générale, ne sont pas très utiles parce que lorsque le gouvernement en entreprend une, il protège habituellement le gouvernement. Et que ce soit une investigation sur le 11 septembre, ou sur Ruby Ridge par exemple, ou sur Waco, ils ont une tendance à la dissimulation plus qu’autre chose. [...] Je suis convaincu que le rapport de la Commission sur le 11 septembre a ignoré certains éléments très, très importants, comme le troisième édifice [Building 7], et pour quelle raison plusieurs arabes d’Arabie Saoudite qui portaient le nom de Ben Laden purent retourner chez eux alors qu’aucun d’entre nous n’étaient admis sur des avions. Cela m’a toujours étonné, particulièrement vu que 15 des 19 terroristes provenaient d’Arabie Saoudite. Et ils [le gouvernement] renversent ensuite la situation et l’utilisent comme excuse pour envahir l’Irak. [...] La seule manière que cela peut fonctionner [propagande médiatique dans le but d’envahir un pays] est de terroriser les gens, notre peuple, d’une manière différente que ce que représente en réalité le terrorisme; il faut les terroriser en développant une peur énorme. Quelque chose du genre, ‘Si vous ne faites rien, si vous n’acceptez pas de concéder vos libertés [civiles] et si vous ne voulez pas envahir ce pays, nous allons tous exploser.’ Vous comprenez? Alors ils doivent nous terroriser et bâtir une peur énorme que quelque chose de terrible est sur le point d’arriver à notre pays, à moins que nous ne sacrifiions nos libertés et que nous ne partions en guerre. »

Hans Koechler, président de l’International Progress Organization (association consultative auprès des Nations Unies); professeur et président du département de philosophie à l’Université de Innsbruck, en Autriche :
« Il est possible que le 11 septembre ait été accompli à l’interne. Je ne suis plus un petit garçon – j’ai 59 ans. Il y a plusieurs inconsistances et inexactitudes dans la version officielle des événements. Ceux qui n’étaient pas capables de piloter un Cessna ont réussi leur coup le 11 septembre. »

Le Capitaine Daniel Davis, retraité, ancien officier de la Défense Aérienne de l’Armée américaine et ancien directeur à NORAD; vétéran décoré de la guerre du Vietnam; pilote privé :
« Je peux garantir qu’aucun des moteurs de haute technologie, faits d’alliages à haute température de n’importe quel des quatre avions qui se sont écrasés le 11 septembre ne peut être complètement détruit, brûlé, fracassé ou avoir fondu suite à un quelconque écrasement ou incendie. Endommagé, oui, mais pas détruit. Où sont tous ces moteurs, particulièrement au Pentagone? Si des avions de ligne se sont écrasés le 11 septembre, ces moteurs, ainsi que les ailes et le fuselage arrière seraient présents. De plus, selon mon expérience en tant qu’officier pour NORAD au poste de directeur tactique de la Défense Aérienne de la région de Chicago-Milwaukee, et en tant que pilote privé actuellement, il n’y a aucune chance qu’un avion sur plans de vol automatique ne soit pas intercepté lorsqu’il dévie de son plan de vol, éteint son transpondeur, ou coupe les communications avec le Contrôle de Traffic Aérien. Impossible! Avec beaucoup de malchance, possiblement qu’un seul pourrait se faufiler, mais il est impossible que tous les quatre y soient parvenus. »

Le Lieutenant-Colonel Guy S. Razer, retraité, pilote d’avions chasseurs de l’US Air Force; a mené diverses missions de combat en Irak, plus de 20 ans de carrière dans l’US Air Force :
« Après plus de quatre années de recherches suite à ma retraite en 2002, je suis convaincu à 100% que les attaques du 11 septembre 2001 ont été planifiées, organisées et exécutées par des traitres malfaiteurs qui ont infiltré les plus hauts niveaux de notre gouvernement. Il est temps de reprendre notre pays. »

Stephen Beckow, ancien membre du Conseil sur l’Immigration et les Réfugiés du Canada; ancien historien du Musée canadien des Civilisations :
« Trois milles américains ont perdu la vie le 11 septembre et, quoique je sois canadien et non américain, je rends hommage à chacun d’eux. Mais à mon avis, ils ne sont pas morts dans un acte de terrorisme étranger. J’allègue qu’ils sont morts aux mains de groupes inconnus, dirigés par le président Bush et le vice-président Dick Cheney. [...] En bout de ligne, il n’y a aucune raison de ‘sécurité nationale’ à garder secrets tous les détails concernant le 11 septembre. Il n’y a seulement que la ‘peur d’être accusés’ (impeachment). »

Mahathir bin Mohamad, ex-premier ministre de la Malaisie (1981 à 2003) :
« Je peux croire qu’ils [les États-Unis] soient prêts à tuer 3000 de leurs propres [citoyens] pour avoir un prétexte pour tuer 650 000 irakiens. C’est le genre d’individus à qui nous avons à faire. S’il vous plaît, ne croyez pas que ceci est de la fiction. »

Daniel Hamburg, ancien membre démocratique du Congrès américain; ancien candidat au poste de gouverneur de l’État de Californie :
« C’est difficile pour les gens de croire que leur gouvernement peut être aussi traître que celui-ci, mais les preuves sont là. Les preuves qu’Al Qaeda est en fait une branche du gouvernement américain sont abondantes. Je sais que c’est le cas, je fais partie de ceux qui croient qu’ils ont contribué à ce que ça se produise [les attentats du 11 septembre]. Je crois qu’il y a eu beaucoup d’aide à l’interne. Tout cela n’a pas été élaboré dans une grotte en Afghanistan. »

Le Commandant Ralph Kolstad, retraité, ancien pilote d’avion chasseur de la US Navy; ancien pilote d’avion commercial :
« Lorsqu’une personne se met à réfléchir par elle-même et cesse de croire ce qu’on lui dit, il y a très peu à croire dans la version officielle. »

Wayne Madsen, ancien officier de renseignements à la US Navy, spécialisé en surveillance électronique et en sécurité; actuellement journaliste d’investigation, chroniqueur et auteur :
« Après cinq années de discussions avec plusieurs individus de la communauté des renseignements de l’armée, d’agences de renseignements étrangères et une grande quantité d’autres personnes, des gens du milieu du contrôle de trafic aérien, de la FAA, j’en suis venu à la conclusion que ce qu’on a vu se produire au matin du 11 septembre 2001 est le résultat d’une opération secrète hautement compartimentée ayant pour but d’entraîner un coup d’État fasciste dans ce pays. [...] Ces gens doivent être traduits en justice, et si ce n’est pas fait par notre propre Congrès, alors que ce soit fait par le tribunal international de la Haye, aux Pays-Bas. Bush, Blair, Rumsfeld et Cheney devraient être assis au même endroit que Milosevic et les criminels de guerre de Serbo-Croatie furent assis. »

Paul Lannoye, membre du Parlement Européen de 1989 à 2004 (Belgique); ancien vice-président de la Commission sur l’Énergie, la Recherche et la Technologie; ancien vice-président de la Commission sur l’Environnement, la Santé publique et la Protection du consommateur :
« [...] J’implore les législateurs, les parlementaires ainsi que les citoyens du monde entier à s’impliquer activement dans le Mouvement ‘9/11 Truth’ en s’inscrivant sur les sites web [...] http://www.911truth.org/. Ces organismes ont travaillé avec les membres des familles [de victimes] du 11 septembre et avec les citoyens du monde entier pour solliciter les gouvernements, les médias et la commission sur le 11 septembre à exiger la vérité et à organiser des activités publiques dans le but d’éduquer le monde sur le ‘cover up’ évident du 11 septembre. »

Connie Fogal, chef du Parti Action Canadienne :
« La raison pour laquelle il est si important de découvrir la vérité au sujet du 11 septembre est que cet événement a déclenché une institutionnalisation fondamentale des milieux politiques à l’échelle mondiale qui s’éloigne des intérêts de l’humanité. Ceci a escaladé en une gouvernance corporative tyrannique. Ceci fut le moyen de jeter les gens à genoux de leur plein gré et d’imposer le concept Orwellien. [...] Être libres et souverains est notre droit d’aînesse. Nous ne pouvons être libres si la vérité nous est cachée ou interdite. Mais la vérité ne peut jamais être retenue en permanence. Elle se libèrera de toutes ses chaînes. Le prolongement de l’univers mensonger entourant le 11 septembre dépend entièrement de nous, de notre consentement à accepter les mensonges ou de notre insistance à obtenir la vérité. Le Canada ainsi que la planète sont à la croisée des chemins. [...]»

Le Lieutenant-Colonel Shelton F. Lankford, retraité, ancien Marine américain; pilote d’avion chasseur avec plus de 300 missions de combat à son actif; 20 ans de carrière chez les Marines :
« Ce n’est pas à propos de partis [politiques], ce n’est pas une question de s’en prendre à Bush. C’est à propos de notre pays, de notre constitution, de notre avenir. [...] Vos compatriotes ont été assassinés, et plus on regarde en profondeur, plus il semble qu’ils ont été assassinés par notre gouvernement, qui a utilisé [le 11 septembre] comme une excuse pour assassiner d’autres personnes à des milliers de milles d’ici. [...] Si vous ridiculisez ceux qui ont des doutes sincères et qui connaissent des faits vérifiables qui contredisent directement le rapport officiel, qui désirent des explications de la part de ceux qui détiennent les clés de notre gouvernement et qui ont le mobile, les moyens ainsi que l’opportunité d’organiser un [attentat semblable au] 11 septembre, mais que vous êtes trop paresseux ou craintif [...] pour vérifier les faits vous-mêmes, qu’est-ce que cela fait de vous? »

Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre par intérim des Affaires étrangères de l’Égypte, ancien ministre du service des renseignements égyptiens, ancien membre du Conseil de Sécurité nationale égyptien, ancien conseiller des présidents égyptiens Nasser et Sadat; ancien éditeur et journaliste influent mondialement :
« Ben Laden n’a pas les capacités d’orchestrer une opération de cette magnitude. Lorsque j’entends Bush parler d’Al Qaeda comme s’ils étaient les Nazis allemands ou les communistes de l’Union Soviétique, je ris parce que je sais ce qu’il en est. Ben Laden est sous surveillance depuis des années : tous ses appels téléphoniques étaient sous écoute et Al Qaeda a été infiltré par les services de renseignements américains, pakistanais, saoudiens et égyptiens. Ils n’auraient pas pu garder secrète une opération qui nécessitait un tel degré d’organisation et de sophistication. »

Paul Hellyer, ancien Ministre de la Défense Nationale du Canada, ancien Vice Premier Ministre, ancien membre de la Chambre des Communes :
« Pourquoi le Président [Bush] est-il demeuré assis dans la salle de classe lorsqu’on l’a informé des nouvelles? Pourquoi n’a-t-il pas signifié qu’il savait déjà ce qui se passait? En tant qu’ancien Ministre de la Défense Nationale, lorsque les nouvelles sont sorties, je ne pouvais faire autrement que m’interroger. Pourquoi les avions ont-ils parcouru le ciel pendant une heure et demie sans que les avions intercepteurs ne décollent de [la base aérienne] Andrews? Avec une réaction rapide, ils auraient dû être sur place en cinq ou dix minutes. [...] Je crois que l’investigation a été très peu profonde, très superficielle. J’aimerais voir une investigation plus acharnée, plus en profondeur. [...] J’aimerais voir une personne en position d’autorité poser ces questions et insister pour obtenir des réponses, pour à tout le moins expliquer pourquoi certaines choses qui se sont produites semblent être, pour une personne ordinaire, inexplicables. [...] Je suis très dérangé par le manque de transparence. Tout le monde en parle, mais personne n’est prêt à dire les choses telles qu’elles sont. [...] Nous devons tenter d’obtenir la vérité. [...] Je souhaite que quelqu’un aura le courage et la persévérance de travailler sans relâche jusqu’à ce que nous l’obtenions. »

Des centaines d’autres personnalités provenant de tous les milieux pourraient être ajoutées aux noms figurant dans cette liste.



Egger Ph.