Dans un entretien accordé à la revue égyptienne Al-Hayat, l’actrice Sharon Stone déclare :
« Je n’ai jamais cru l’histoire qui nous a été servie à propos de la destruction des Twin towers le 11 septembre (…) Je ne crois pas que les guerres menées par les États-Unis en Afghanistan et en Irak étaient le résultat de l’attaque du 11 septembre ».
De nombreuses personnalités d’Hollywood se sont déjà exprimées en ce sens. Parmi les plus célèbres : les acteurs Martin Sheen et son fils Charlie Sheen, Marion Cotillard, le scénariste Robert Baer, les réalisateurs Michael Moore et David Lynch, le rappeur Mos Def.
La revue Marianne a lancé une campagne pour discréditer Marion Cotillard. La lauréate de l’Oscar 2008 de la meilleure comédienne représente en effet un grave danger pour la pensée unique imposée par la presse atlantiste.
La jeune femme a déclaré, l’an dernier, ne pas croire à la version des attentats du 11 septembre 2001. Rien de très original en soi, puisque des milliers de personnalités politiques et militaires, intellectuelles et artistiques, se sont déjà prononcées en ce sens dans le monde. Mais pourtant le signe d’un vrai courage car l’expression de cette opinion est strictement prohibée en Europe occidentale sous peine de lynchage médiatique. Le dernier artiste de cinéma européen à s’y être essayé, le réalisateur Jean-Luc Godard, a pu le vérifier.
L’affaire est d’autant plus grave que cette opinion dissidente gagne aussi les milieux politiques occidentaux. Ainsi, le 26 février 2008, des parlementaires européens autour de l’Italien Giulietto Chiesa et des parlementaires étrangers autour du sénateur japonais Yukihisa Fujita, ont organisé une projection du film ZERO - Inchiesta sull’11 settembre au Parlement européen à Bruxelles.
Rappelons par ailleurs que la revue Marianne, qui lance cette campagne, est détenue à 25 % par le Carlyle Group, représenté au Conseil d’administration par Yves de Chaisemartin. Le Carlyle Group fut pendant des années le fond de placement commun des familles Bush & Ben laden. Son capital a aujourd’hui évoluée et l’on ignore qui le détient exactement. L’essentiel de ses placements est effectué dans les sociétés contractantes du Pentagone et dans des médias prétendument critiques face à l’administration Bush, en réalité chargés de stériliser toute opposition.