"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

19 septembre 2007

11 Septembre : l’Amérique sur le banc des accusés

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Mardi, 130 ingénieurs et architectes d’Auckland (1) (Californie) présenteront au Congrès américain (2) une version des événements tragiques du 11 septembre 2001 qui risque de faire sensation. Selon eux, les tours jumelles du World Trade Center, cibles de l’attaque de deux avions pilotés par des terroristes kamikazes, se sont effondrées à la suite d’une "démolition contrôlée" au moyen d’explosifs.

"Nous arrivons à une conclusion terrifiante: l’attentat aurait pu être organisé et orchestré par quelqu’un au sein du gouvernement américain", a déclaré Richard Gage, membre de l’Institut américain des architectes et principal auteur d’un appel à lancer une nouvelle enquête qui sera adressé au Congrès.

Les experts russes considèrent qu’il s’agit d’une version tout à fait vraisemblable.

Il ne faut pas exclure la version selon laquelle la tragédie du 11 Septembre aurait été orchestrée par les services secrets américains, estime Victor Baranets, ancien conseiller du chef d’État-major général des Forces armées russes. On peut supposer que les dirigeants américains en auraient eu besoin pour justifier leur nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme. Ils auraient pu également atteindre ainsi d’autres objectifs stratégiques: pénétrer en Afghanistan et en Irak et promouvoir les idées patriotiques aux États-Unis.

L’opération aurait pu se dérouler selon un scénario mixte: des avions pilotés par des kamikazes devaient attaquer les tours déjà minées. On essaie de nous persuader que les pilotes musulmans se sont préparés à l’attaque en six mois. N’importe quel pilote vous dira qu’il est impossible de former un équipage capable d’effectuer des manoeuvres aussi complexes sur une période aussi courte. Pour cela, la formation devait durer au moins un an et demi.

Deuxièmement, il est impossible de croire que les services secrets américains n’aient pas remarqué la concentration inquiétante de pilotes musulmans au sein des équipages de Boeing, d’autant plus que les autorités parlaient constamment de la menace islamiste. Certaines personnes ont sans doute fermé les yeux sur les faits ou ont dirigé ce processus.

Mais même un scénario parfaitement bien rodé ne pouvait pas garantir le succès à 100%.

L’avion qui devait attaquer le Pentagone a effectivement raté sa cible. Qui plus est, il était impossible d’apporter des explosifs au Pentagone alors qu’il était très facile de le faire dans les tours jumelles du WTC où des travaux de réparation se déroulaient en permanence (3). Il suffisait d’apporter quelque 400 kg de TNT ou de plastic en les faisant passer pour des matériaux de construction et de les activer au moyen d’un portable. Les tours se sont effondrées verticalement. Or elles étaient si solides que les Boeing ne pouvaient qu’en couper une partie. Cela a attiré l’attention des architectes.

On a aidé les gratte-ciels à tomber, affirme Vladimir Boulatov, ancien officier du contre-espionnage russe.
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(1) Association des Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 - AE911Truth.org
(2) Lettre de Richard Gage à M. Wexler, membre du Congrès, 2008
(3) Rappel:
2001 : la sécurité des tours est assurée par la société Securicom-Stratesec gérée par
Marvin Bush, le frère de l’ancien Président.

Janvier 2001 : des travaux sont effectués dans les cages d’ascenseurs : Richard Gage, membre de l’Institut des Architectes, et fondateur de l’association Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9, parle "d’un prétexte aux travaux comme la modernisation des ascenseurs. Il y en avait d’ailleurs eu une 9 mois avant le 11/9. Des ouvriers étaient donc présents dans tous le WTC. Ils avaient accès aux cages d’ascenseur contigues aux colonnes centrales et aux poutres du bâtiment."

Avril 2001 : le groupe immobilier Sylverstein achète les Tours pourtant déficitaires (elles nécessitent d’importants travaux de desamiantage) et les fait assurer contre des attaques terroristes.

Aout 2001 : des travaux sont effectués, nécessitant le déménagement de certains bureaux à d’autres étages. Des employés de bureau entendent des bruits étranges, forts et inhabituels provenant de locaux vides. De retour dans leurs bureaux, ils constatent qu’une couche de poussière recouvre les lieux après les travaux.

6 septembre : Securicom fait retirer les chiens renifleurs de bombe du service de sécurité des tours.

8 et 9 septembre : Scott Forbes, employé de Fiduciary Trust aux 90e, 91e et 94e étages de la Tour sud rapporte qu’en fin de semaine, dans la nuit du 8 au 9 septembre, le courant a été coupé 30 heures durant dans la moitié supérieure de la Tour sud. Des travaux pour le remaniement du câblage réseau étaient invoqués. De nombreux techniciens circulaient dans l’édifice alors que tout le système de sécurité et les caméras de surveillance étaient débranchés. S. Forbes est revenu le 9 septembre pour remettre en service le réseau informatique de sa société. Il a pu constater ce jour là une intense activité dans le bâtiment, le va et vient continuel de nombreux techniciens sans qu’ils ne fassent l’objet d’aucun contrôle de sécurité.

11 septembre : des explosions sont entendues par différents témoins. Du métal en fusion s’écoule des tours avant leur effondrement, des flashes lumineux sont aperçus à divers étages juste avant les effondrements, une fumée gris-noir évoque une explosion pyroplsatique, les tours s’effondrent sur le modèle d’une démolition contrôlée. Tout comme la tour 7 (où se trouvaient les archives du FBI, et de la SEC enquêtant sur des fraudes à Wallstreet ) qui pourtant n’a été frappée par aucun avion.

Ce même jour, les commentateurs de la BBC, rapportant l’événement, annoncent que la tour 7, (la troisième tour) s’est également effondrée. La journaliste, face caméra, commente en direct. En arrière plan, on voit la ville de New York, de la fumée et sur la droite… la tour 7 toujours debout ! Elle s’effondrera, mais 20 mn plus tard.

Post 11 septembre : les fondations sont encore brûlantes plusieurs jours après les effondrements. R. Gage revient sur la poussière produite lors de l’effondrement des tours : " des traces chimiques, de la thermite, un produit incendiaire particulier, dans la poussière qui recouvrait le lower Manhattan, comporte des milliards de micro-sphères de fer fondu, plusieurs tonnes, répandus avec la poussière, des fragments de nanothermite qui ne peut être fabriquée que par des labos de pointe sous contrat avec la Défense. Il ya plusieurs tonnes de thermite, nano et ordinaire. Impossible à passer à l’insu de la sécurité. Il faudrait enquêter sérieusement sur la compagnie de sécurité de WTC, en l’occurence Securicom-Stratesec. Il faudrait vérifier qui siégeait au conseil d’administration. On y découvrirait des noms très intéressants."

Face à de telles affirmations (non exhaustives dans ce petit rappel), il est difficile de ne pas faire le lien : une déduction s’impose d’elle même. Des explosifs, de la nanothermite, auraient été placés sous couvert de travaux avec l’aval de la société de sécurité, en vue de préparer l’effondrement des Tours en ce fatidique 11 septembre. Mais, sans preuves tangibles, légales, cette déduction ne vaut rien.

C’est comme si la vérité criait mais que les premiers concernés, les juristes, ne voulaient surtout pas l’entendre. C’est pourquoi, face à l’importance des éléments qui s’accumulent, face au nombre de témoignages convergents, aux coïncidences multiples, avec l’avis d’experts censés qui en arrivent à remettre en cause la version officielle parce qu’elle ne tient pas, l’ouverture d’une enquête impartiale est indispensable.
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RIA Novosti