Le 23 août 2001, vers 3 heures du matin, les caméras de sécurité situées dans les parkings du World Trade Center (WTC) ont filmé l’arrivée de deux ou trois camionnettes. Le visionnage [des bandes] a permis de voir que ces fourgons ne ressemblaient en rien à ceux utilisés par les services de nettoyage, les couleurs étaient différentes et les sigles absents. Encore plus étrange, toutes les camionnettes d’entretien étaient reparties des Tours à 2h30 du matin – environ une demi-heure avant l’arrivée du deuxième convoi de camionnettes. Selon ma source au Département d’Etat, qui bénéficie du plus haut niveau d’accréditation de sécurité, et qui m’a informée de cette activité nocturne inhabituelle, aucune camionnette correspondant à cette description n’avait pénétré dans le World Trade Center à cette même heure dans les semaines ou les mois précédant cette date. Cet événement fut unique.
Les caméras de sécurité ont filmé les camionnettes quittant les Tours vers 5 heures du matin – avant que la première vague de personnalités de Wall Street au volant de leurs Mercedes ou de leurs BMW ne soit arrivée pour surveiller les marchés.
Durant les 10 à 12 nuits suivantes, les mêmes mystérieux fourgons sont arrivés à la même heure étrange au World Trade Center – après que les équipes d’entretien aient quitté le bâtiment et avant que les plus fanatiques barons de Wall Street ne soient arrivés au travail. Les camionnettes ont été aperçues dès le 23 août 2001 environ, et jusqu’au 3 ou 4 septembre 2001. Après cette dernière nuit, elles n’ont plus jamais réapparu au WTC.
D’ailleurs, plus personne n’a entendu parler de ces camionnettes. La Commission sur le 11/9 n’a jamais été informée de leur surprenante présence dans les Tours trois semaines avant les attentats du 11/9. Pratiquement personne au sein du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9 n’a connaissance de cette activité nocturne tout à fait inhabituelle.
En fait, les bandes vidéo des caméras de sécurité pourraient être les parties manquantes les plus significatives du puzzle du 11/9. Mon informatrice au Département d’État était convaincue que ces fourgons mystérieux transportaient des explosifs à l’intérieur des bâtiments, et qu’une équipe non identifiée avait câblé le World Trade Center pendant ces heures nocturnes en vue d’une démolition contrôlée. Cette personne n’a pas ébruité l’affaire, afin de préserver son emploi, sa retraite et sa réputation – sachant que d’autres qui avaient parlé ont été virés ou envoyés en prison (j’ai connu cela aussi).
Démolition contrôlée
D’autres preuves appuient la thèse de la démolition contrôlée des Tours, en parallèle des détournements. Les pompiers et les équipes de maintenance ont rapporté avoir entendu des détonations d’explosifs dans les Tours le 11/9. Des rapports antérieurs montrent que [l’étude] des poussières du World Trade Center a révélé des traces d’ « explosifs à base de thermate » – un dérivé de bombe aluminothermique.
Une réaction aluminothermique implique un mélange d’oxyde de fer et d’aluminium, tandis que la thermate contient également l’élément « soufre ». Lorsque le mélange oxyde de fer-aluminium est mis à feu, une réaction très puissante a lieu, produisant la fusion du métal – et générant de la poussière, dans le cas de la thermate. La réaction est extrêmement exothermique, ce qui signifie qu’une grande quantité de chaleur est dégagée, produite par un agent de réduction hautement puissant.
Au demeurant, à l’approche du 10ème anniversaire des attentats, la majorité des Américains ne comprennent pas la façon dont le scénario de la démolition contrôlée s’intègre dans celui des détournements d’avion et des attaques aériennes contre le World Trade Center - qui ont été vues et revues dans le monde entier au travers des médias jusqu’à ce que l’image en soit gravée au plus profond de notre mémoire collective.
Une fausse dichotomie existe encore aujourd’hui selon laquelle l’une ou l’autre des formes d’attaque était possible, mais pas les deux en même temps. Certains membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9 contestent vigoureusement que les deux aient pu se produire conjointement. Et la plupart des grands médias refusent d’admettre l’hypothèse de la démolition contrôlée.
Quand les gens s’aperçoivent que le 11/9 correspond [en réalité] à une série d’événements survenus tout au long du mois d’août 2011, le déroulement séquentiel de cette tragédie prend alors tout son sens.
La difficulté est de rejeter tout ce qui a été enseigné au public au sujet du 11/9 – enseigné de telle façon à accommoder les politiciens et les grands médias, qui ont simplifié le récit pour le « vendre » au public.
Tout d’abord, contrairement à ce qui a été dit dans les médias et lors des discours officiels, les services de renseignement américains ou étrangers s’attendaient aux attentats du 11/9 – et avaient [précisément mentionné] des détournements d’avions et des frappes contre le World Trade Center. Même la date était connue, quelque part entre fin août et mi-septembre.
Je raconte ici ma propre expérience, à titre de preuve. Cela a été corroboré par la déposition devant un tribunal de Parke Godfrey, un professeur d’informatique à l’Université York de Toronto. Il a livré sa déclaration sous serment devant la Cour Fédérale du District Sud de New York – à 900 mètres de l’endroit où le World Trade Center honorait l’horizon de sa présence.
Le 2 août [2001], la date à laquelle il fut confirmé par les auditions du Sénat que Robert Mueller allait devenir le directeur du FBI, mon contact à la CIA, le Docteur Richard Fuisz, m’a demandé de ne pas me rendre à New York, car des attentats contre le World Trade Center impliquant des détournements d’avion étaient ‘’considérés comme imminents,’’ avec l’éventualité de ‘’grosses pertes humaines’’ ainsi qu’un ‘’possible dispositif miniature thermonucléaire’’ (la thermite).
Notre équipe a essayé par tous les moyens d’arrêter ce complot. Mais tout le monde n’était pas d’accord pour nous aider…
Des menaces contre l’Irak
Dès avril – mai 2001, une décision avait été prise aux plus hauts échelons du gouvernement que la guerre contre l’Irak serait en jeu après un scénario à la 11/9.
En tant qu’agent principal [du FBI] en charge des contacts avec l’ambassade irakienne à New York, on m’ordonna d’informer les diplomates de la possibilité d’une guerre s’il était déterminé que l’Irak possédait des renseignements exploitables sur un complot mettant en jeu des détournements d’avion, mais avait omis de les transmettre [aux autorités US] par mon intermédiaire.
Après avoir ignoré le message, je fus informée que la menace provenait des plus hauts échelons du gouvernement, au-dessus du directeur de la CIA et du Secrétaire d’État. Elle ne pouvait venir que du Président George Bush, du Vice-président Dick Cheney ou du Secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
Les diplomates irakiens levèrent les bras au ciel : ils n’avaient rien à nous donner, dirent-ils. « Mais allez-y, m’ont-ils confié, envoyez vos agents du FBI. Ils seront les bienvenus à Bagdad. Nous désirons la paix avec les Etats-Unis. Peut-être qu’ils trouveront quelque chose ? » Malgré tout le brouhaha qui suivit le 11/9, il est clair que George Bush ne répondit pas à l’invitation des Irakiens.
Durant tout l’été [2001] il y avait eu de nombreux bavardages au sein de la communauté du renseignement sur le complot du 11/9. La plupart des personnes dans le renseignement avaient rejeté l’idée même du scénario. Ma propre équipe, triangulant avec la CIA et la DIA (Defense Intelligence Agency) avait fait tout son possible pour obtenir des renseignements exploitables de la part de Bagdad.
Toutefois, bien que nous ne comprenions pas ce qui se tramait, nos efforts se heurtèrent à un mur d’indifférence de la part du Département de la Justice, qui ne nous aida que de manière superficielle.
Par respect pour l’Histoire, les Américains et la communauté internationale ont le droit fondamental de comprendre les actions conduites par les services de renseignement avant les attentats – car cela montre des interférences générées à haut niveau.
Les événements du jeudi 2 août 2001 – mon contact à la CIA, le docteur Richard Fuisz et moi-même discutions au téléphone de notre profonde conviction qu’une attaque était imminente.
Le samedi 4 août – j’ai rendu visite pour la dernière fois avant le 11/9 à l’Ambassade irakienne à New York, insistant pour obtenir de Bagdad le plus petit renseignement utile qui permettrait de déjouer le complot.
Le week-end du 4 et 5 août – de drôles de types de la NSA sont arrivés pour « fouiller » le bureau où je travaillais comme consultant à temps partiel. Bien sûr, le bureau était fermé pour le week-end, je ne m’étendrai pas sur la façon dont ils ont eu accès au bureau. Cependant, lors de leur perquisition, ils ont pris possession d’une ‘’preuve de vie,’’ à défaut d’une autre expression. C’était un exemplaire du Wall Street Journal datant du 30 juillet 2001 – la même semaine que ma conversation avec le docteur Fuisz – adressé à la société, avec l’adresse et le nom de l’homme pour qui j’avais travaillé.
L’exemplaire du 30 juillet 2001 du Wall Street Journal refit surface sur mon bureau – neuf années après les attentats – lors d’un voyage au Japon pour des conférences sur la publication de mon livre, "Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Iraq" qui propose une analyse détaillée des avertissements lancés par notre équipe avant le 11/9, l’enquête sur le 11/9 lui-même, et une approche de l’accord de paix mis au point avec les diplomates irakiens. Etant donnés les bouleversements survenus dans ma vie durant cette dernière décennie – dont une année en prison sur une base militaire du Texas, alors que le gouvernement camouflait les avertissements lancés par notre équipe avant le 11/9 ainsi que les véritables faits concernant les services de renseignement qui ont précédé la guerre avec l’Irak – aucun exemplaire du Wall Street Journal n’aurait pu rester aussi longtemps sur mon bureau.
Certains agents du renseignement seront immédiatement conscients de cet état de fait. L’exemplaire du Wall Street Journal prouve au-delà de toute question que d’autres types bizarres suivaient en temps réel les conversations de notre équipe au sujet de la conspiration environ six semaines avant que ne se produise le 11/9. Le journal a dû être jeté hors du bureau plusieurs semaines avant les attentats. Quelqu’un l’a [nécessairement] ramassé presque immédiatement après ma conversation avec le docteur Fuisz.
Vous voyez ? D’autres équipes essayaient également de connaitre le scénario des attentats.
Tout ceci met en avant l’activité frénétique qui a précédé le 11/9. Ça s’est beaucoup agité en coulisse. Et les services de renseignement sont tout sauf passifs. Au contraire, il existe une prise de risque ingénieuse et une volonté proactive de résoudre les problèmes. Personne ne rechigne à la tâche.
Les Américains ne savent pas encore que le lundi 6 août, j’ai rencontré le docteur Fuisz et que nous avons élaboré un plan d’action pour demander à la Maison Blanche de passer ce complot de détournement d’avion au niveau ‘URGENT’.
Ce même lundi 6 août, la CIA a remis au Président Bush un mémorandum avertissant d’une vraisemblable conspiration terroriste impliquant al-Qaïda. Je peux me tromper, mais j’ai toujours pensé que le docteur Fuisz avait contribué à ce rapport. Sinon, cela prouve à nouveau qu’une large portion des services de renseignement américains était passée à un niveau d’alerte élevé, assez longtemps à l’avance pour empêcher les attentats. Suivant les instructions du docteur Fuisz, le mardi 7 août, ou le mercredi 8 août, j’ai passé un appel d’urgence à l’équipe privée du Procureur général John Ashcroft. M’identifiant comme agent du Renseignement américain couvrant l’Irak et la Libye aux Nations-Unies, j’ai transmis notre avertissement sur le complot des détournements d’avion et sur une frappe ciblée contre le World Trade Center.
J’ai demandé que soit diffusé un message d’alerte à toutes les agences fédérales, afin qu’elles recherchent le moindre élément d’information impliquant des détournements d’avion et une frappe ciblée contre le WTC. J’ai prévenu de l’imminence des attentats dont résulteraient des ‘pertes massives’, et que cette situation devait être considérée avec un haut degré d’urgence.
L’équipe du Procureur général m’a tout de suite communiqué un numéro de téléphone au Bureau du Contre-terrorisme, et m’a demandé de répéter ce que je venais de dire. Ce que je fis immédiatement. Plus tard dans la semaine, le 9 ou 10 août, je me rendis chez mon cousin de Virginie à Arlington, Andrew Card – Chef de cabinet du Président Bush – prête à délivrer le même message. J’ai attendu deux heures devant sa maison. Les voisins m’observaient depuis leur fenêtre, pendant que je m’enfilais cigarette sur cigarette dans ma voiture. (Oui, j’ai arrêté de fumer [depuis]). En repartant [sans avoir pu voir Andrew Card – NdT], je me suis rappelée que j’étais peut-être en train de commettre la plus grosse erreur de ma vie.
L’enfer que fut pour moi l’opération de dissimulation
Je suis très fière des efforts entrepris par mon équipe avant le 11/9 et pendant l’enquête sur le 11/9. Les Américains ont finalement appris très tardivement tout cela, parce que j’ai eu de très gros problèmes avec les Fédéraux lorsque j’ai essayé de parler. J’ai subi cinq années d’inculpation au titre du Patriot Act, et une année d’emprisonnement sur une base militaire sans procès, lorsque les Républicains ont décidé de réinventer les faits sur le 11/9 et sur les informations du Renseignement avant la guerre en Irak, niant toute contribution de l’Irak à l’enquête sur le 11/9, ainsi que l’existence d’un accord de paix.
Notre relation s’est détériorée lorsque je fus convaincue que les pontes républicains avaient permis au 11/9 d’avoir lieu, tuant au passage des milliers d’innocents, citoyens américains ou d’autres pays, afin de monter un dossier-bidon pour aller faire la guerre en Irak et en Afghanistan.
Je fus outragée que le gouvernement américain ait pu agir de la sorte – comme un prétexte pour justifier une agression militaire et les dépenses massives [s’ajoutant au] déficit pour soutenir le complexe militaro-industriel, entrainant la faillite les classes moyennes. Je me suis exprimée haut et fort sur le fait que les Américains avaient droit à une transparence totale sur nos activités avant le 11/9 et sur la guerre en Irak. Au diable les politiciens !
Il ne fait pas de doute que mes actes ont représenté une grave menace pour l’exploitation politique du 11/9 et du mythe selon lequel à Washington « les dirigeants auraient fait face au terrorisme d’une manière exceptionnelle. » Je me suis longtemps crue "Dorothée au pays d’Oz" tirant la couverture qui cachait le magicien, et exposant sa supercherie devant les malheureux et confiants Munchkins.
En vérité, les épouvantails ont fait du bon boulot avant le 11/9. Tout s’est déroulé à la vitesse de l’éclair en amont de la menace. Nous aurions pu facilement empêcher le 11/9 si le ministère de la Justice avait donné suite aux demandes de coopérations inter-agences. Nous avions tout le temps nécessaire pour alerter le NORAD ou poster une batterie anti-aérienne au sommet des tours du World Trade Center.
Voilà pourquoi les dirigeants du Good Old party [le parti républicain - NdT] devaient m’écarter – puisque je refusais de faire marche arrière sur ce point. Si j’avais été libre, le peuple américain et la communauté internationale auraient appris la vérité bien plus tôt.
Démolition contrôlée
Malheureusement pour nous tous, j’ai appris au travers de conversations privées avec certaines sources comme mon collègue au Département d’Etat, que notre équipe n’était pas la seule au travail avant le 11/9.
Bien que personne parmi nous ne se soit attendu à de tels événements, j’en suis arrivée à penser que nos efforts se sont heurtés à une force équivalente, sous la forme d’une équipe indépendante observant comme nous le déroulement des événements.
Ayant participé à de nombreuses enquêtes liées au terrorisme, je sais que la plupart des attentats terroristes sont bruyants, enfumés et chaotiques – et ne parviennent jamais à la destruction totale de la cible. L’attentat contre le World Trade Center en 1993 par les Égyptiens Ramzi Youseff et Sheikh Abdul Rahmon a tué 5 personnes. L’attentat à la bombe contre l’U.S.S. Cole dans le port d’Aden au Yémen a fait 12 victimes. S’ils n’avaient pas été aidés, les attentats du 11/9 n’auraient jamais fait autant de victimes non plus –au maximum 100 personnes.
Ajoutez à la recette un groupe de pilotes incompétents – qui étaient également des agents du renseignement US dans certains cas. Encore une fois, de par mon expérience personnelle, je sais que les agents sont de tout temps surveillés par les gestionnaires de diverses agences. Je suis convaincue qu’un cercle interne a anticipé les événements [du 11/9], et s’est aperçu que leurs gars à bord des avions ne pourraient pas occasionner les dégâts escomptés pour justifier du calendrier belliciste en Irak.
Je ne peux blâmer le peuple américain de se sentir dépassé, ni même d’avoir le cœur brisé par ces révélations. Argument ultime, les incendies dus au kérosène n’auraient pas pu provoquer l’effondrement de ces tours, ou du Bâtiment 7, transformant presque toute la structure d’acier du WTC en poussière et en acier fondu. Ajoutez à cela les rapports d’urgence de la CIA qu’un système thermonucléaire miniature serait utilisé dans les attentats - la raison pour laquelle je devais me tenir éloignée de New York.
L’activité nocturne étrange au World Trade Center durant les trois semaines précédant les attentats est pour moi un déclic. Je suis convaincue à 100% que ces Tours ont été câblées avec des explosifs.
Oui, les avions détournés ont bien frappé les Tours. Mais abattre le WTC afin de justifier de la guerre en Irak demandait un peu plus que cela.
Je ne peux pas spéculer sur qui a pu remplir les tours d’explosifs. Je pourrais essayer de deviner, mais mon entrainement d’agent exige que je reste concentrée sur ce que j’ai pu observer de première main, et de connaître mes propres limites.
Pourquoi le monde devrait-il s’inquiéter autant ? A ce stade, il est vital pour le peuple américain d’empêcher les politiciens de Washington d’utiliser le 11/9 pour leurs ambitions personnelles. La guerre contre le terrorisme fut une grande tromperie faite à nos dépens. Ceux qui soutiennent la guerre contre le terrorisme détruisent notre économie fiscale et notre classe moyenne.
Voilà pourquoi le peuple américain doit connaître la vérité sur le 11/9. La crise a atteint un stade où nous devons mettre fin à ces dépenses astronomiques pour la Défense. Nous devons suspendre les guerres en Irak et en Afghanistan. Sinon, cette fraude du 11/9 va ruiner notre nation pour toujours.
J’espère seulement qu’il n’est pas déjà trop tard.
Susan Lindauer
lanceuse d’alertes (whistle Blower) sur les événements du 11-Septembre et auteur du livre Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Irak. qui relate son calvaire en tant que deuxième Américaine non arabe à avoir été inculpée au travers des lois Patriot Act, et à avoir dû faire face à des accusations secrètes, des preuves secrètes, des témoignages secrets d’un jury d’accusation, ainsi qu’à des menaces de détention illimitée.
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