A la suite des batailles juridiques portées par les familles de victimes du 11 Septembre, les procédures en justice ont forcé la divulgation de dossiers précédemment refusés ou corrigés par le Département de la Justice de l’administration Bush, et la Commission du 11 Septembre. Des documents mis à jour récemment à partir des dossiers de la Commission du 11 Septembre présentent de nouvelles preuves du rôle direct des services de renseignement d’Arabie saoudite dans les attaques du 11 Septembre. Un document-clé, révélé parmi les dossiers de la Commission le mois dernier, confirme qu’un agent de renseignement saoudien, Omar Al-bayoumi, travaillait en étroite collaboration avec 2 pirates du 11 Septembre basés sur la côte ouest, Nawaf al-Hazmi et Khalid al-Mihdhar. Le nouveau document découvert, un « mémorandum pour archivage » daté du 23 Avril 2004 par la Commission, résume un entretien que les employés de la Commission Quinn John Tamm Jr et Dietrich Snell ont eu avec une source non identifiée, qui était informateur du FBI dans la région de San Diego, et qui hébergea les 2 pirates durant la majeure partie de l’année 2000.
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Omar Al-bayoumi
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Ce que le document ne précise pas, mais qui se trouve dans d’autres documents de la Commission, ainsi que dans les 28 pages supprimées par Bush et la Maison-Blanche du synopsis du rôle d’Al Bayoumi et d’Osama Basnan (un autre agent identifié du renseignement saoudien) dans le financement des 2 pirates de la côte Ouest, est que le prince Bandar Ben Sultan, alors ambassadeur d’Arabie saoudite aux États-Unis, et sa femme la princesse Haïfa, délivrèrent entre 50 000 USD et 72 000 USD à Al Bayoumi. En retour, celui-ci transféra une partie de l’argent à Al Hazmi et Al Mihdhar, pour financer leur loyer et leurs cours de pilotage, pour les préparatifs des attentats du 11 Septembre. La Princesse Haïfa est la sœur du Prince Turki Bin Faisal, qui était à la tête des services de renseignement saoudiens au moment des attaques du 11 Septembre. Il démissionna soudainement, juste après le 11 septembre 2001.
Le fait que les 2 pirates aient vécu dans l’appartement d’un indicateur du FBI, lequel informa le FBI que les 2 hommes vivaient chez lui, est encore un autre aspect « volatile » de l’affaire du 11 Septembre, qui a été supprimé. Le fait que le directeur du FBI de l’époque, Louis Freed, soit désormais l’avocat qui représente le Prince Bandar dans l’affaire de corruption BAE [ndlr : British Aerospace, impliquée depuis 2006 dans un scandale colossal de pots de vin avec l’Arabie saoudite autour du deal de Margaret Thatcher « un super tanker par jour contre des chasseurs multirôle biréacteurs –Rolls-Royce- à géométrie variable Tornados » ] est en lien direct avec l’enquête en cours sur ce qui se cachait vraiment derrière les attentats du 11 Septembre. Une source supérieure des services de renseignement états-uniens a mis l’accent sur le fait que, selon toute vraisemblance, une partie du cash délivré par le prince Bandar et la Princesse Haïfa aux deux officiers de renseignement saoudiens, Al Bayoumi et Al Basnan, viendrait directement des pots de vin de BAE, transférés sur le compte de Bandar à l’ambassade saoudienne ouvert à la Riggs National Bank.
Les nouvelles révélations sur le rôle des Saoudiens dans les attentats de Septembre 2001 donnent encore plus de poids aux reportages de ce jour [ndlr dimanche 5 juillet 2009], dans le SUNDAY TIMES de Londres, selon lesquels Meir Dagan, le chef des services de renseignement israéliens, le MOSSAD, a récemment affirmé au premier ministre Netanyahu que l’Arabie saoudite ne s’opposerait pas à une attaque israélienne sur l’Iran. De plus, le TIMES cite une autre source israélienne anonyme qui aurait déclaré que les Saoudiens permettraient aux jets israéliens de voler au-dessus du territoire saoudien afin de procéder au bombardement des sites iraniens présumés abriter des armes nucléaires. Lors d’un événement récent à Washington DC, Lyndon Larouche [ndlr, quaker américain radical opposé aux néoconservateurs, dont les idées sont relayées en France par Jacques Cheminade, très décrié pour la gestion autoritaire de son parti et pour ses idées extrémistes, jugées soit trotskystes, soit lepénistes mâtinées de social] a identifié Israël et l’Arabie saoudite comme 2 soutiens du contrôle impérial britannique né des accords Sykes-Picot sur toute la région [ndlr : accords signés en 1916 entre la France, la Grande Bretagne et le Tsar, qui partagèrent en secret l’actuel Moyen-Orient, finalement doté des pays et frontières actuels en 1922, lorsque la Société des Nations confirma les accords de San Remo de 1920].
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Le document de la Commission établit entre autres que « Dr.X nota qu’Omar Al Bayoumi a aussi rendu visite à Al Hazmi à son domicile. Dr.X connaissait Al Bayoumi en tant que citoyen de nationalité saoudienne, que Dr.X avait rencontré à l’ICSD (centre islamique de San Diego). Al Bayoumi déclara à M. X, lorsqu’il lui rendit visite : « Je vous ai parlé d’eux [Al Bayoumi et Al Mihdhar]. » Dr.X précisa que ce n’était pas le cas et qu’il avait rencontré les deux hommes dans le couloir de l’ICSD après la prière du vendredi. Le mémo enchaîne : « Al Hazmi n’aimait pas Al Bayoumi et dit à Dr.X qu’Al Bayoumi était un agent pour les Saoudiens. » Al Hazmi se plaignit auprès de Dr.X de ce que Al Bayoumi enregistrait constamment des vidéos des gens fréquentant l’ICDS. Dr.X signala qu’il l’avait vécu lorsqu’il participait à des événements à l’ICDS. Dr.X se souvenait qu’Al Bayoumi avait toujours avec lui sa caméra vidéo, et qu’il recherchait les commentaires avec le micro ouvert sur sa caméra vidéo. Dr.X déclara « J’ai entendu dire qu’Al Bayoumi est un agent [des Saoudiens]. »
Ce que le document ne précise pas, mais qui se trouve dans d’autres documents de la Commission, ainsi que dans les 28 pages supprimées par Bush et la Maison-Blanche du synopsis du rôle d’Al Bayoumi et d’Osama Basnan (un autre agent identifié du renseignement saoudien) dans le financement des 2 pirates de la côte Ouest, est que le prince Bandar Ben Sultan, alors ambassadeur d’Arabie saoudite aux États-Unis, et sa femme la princesse Haïfa, délivrèrent entre 50 000 USD et 72 000 USD à Al Bayoumi. En retour, celui-ci transféra une partie de l’argent à Al Hazmi et Al Mihdhar, pour financer leur loyer et leurs cours de pilotage, pour les préparatifs des attentats du 11 Septembre. La Princesse Haïfa est la sœur du Prince Turki Bin Faisal, qui était à la tête des services de renseignement saoudiens au moment des attaques du 11 Septembre. Il démissionna soudainement, juste après le 11 septembre 2001.
Le fait que les 2 pirates aient vécu dans l’appartement d’un indicateur du FBI, lequel informa le FBI que les 2 hommes vivaient chez lui, est encore un autre aspect « volatile » de l’affaire du 11 Septembre, qui a été supprimé. Le fait que le directeur du FBI de l’époque, Louis Freed, soit désormais l’avocat qui représente le Prince Bandar dans l’affaire de corruption BAE [ndlr : British Aerospace, impliquée depuis 2006 dans un scandale colossal de pots de vin avec l’Arabie saoudite autour du deal de Margaret Thatcher « un super tanker par jour contre des chasseurs multirôle biréacteurs –Rolls-Royce- à géométrie variable Tornados » ] est en lien direct avec l’enquête en cours sur ce qui se cachait vraiment derrière les attentats du 11 Septembre. Une source supérieure des services de renseignement états-uniens a mis l’accent sur le fait que, selon toute vraisemblance, une partie du cash délivré par le prince Bandar et la Princesse Haïfa aux deux officiers de renseignement saoudiens, Al Bayoumi et Al Basnan, viendrait directement des pots de vin de BAE, transférés sur le compte de Bandar à l’ambassade saoudienne ouvert à la Riggs National Bank.
Les nouvelles révélations sur le rôle des Saoudiens dans les attentats de Septembre 2001 donnent encore plus de poids aux reportages de ce jour [ndlr dimanche 5 juillet 2009], dans le SUNDAY TIMES de Londres, selon lesquels Meir Dagan, le chef des services de renseignement israéliens, le MOSSAD, a récemment affirmé au premier ministre Netanyahu que l’Arabie saoudite ne s’opposerait pas à une attaque israélienne sur l’Iran. De plus, le TIMES cite une autre source israélienne anonyme qui aurait déclaré que les Saoudiens permettraient aux jets israéliens de voler au-dessus du territoire saoudien afin de procéder au bombardement des sites iraniens présumés abriter des armes nucléaires. Lors d’un événement récent à Washington DC, Lyndon Larouche [ndlr, quaker américain radical opposé aux néoconservateurs, dont les idées sont relayées en France par Jacques Cheminade, très décrié pour la gestion autoritaire de son parti et pour ses idées extrémistes, jugées soit trotskystes, soit lepénistes mâtinées de social] a identifié Israël et l’Arabie saoudite comme 2 soutiens du contrôle impérial britannique né des accords Sykes-Picot sur toute la région [ndlr : accords signés en 1916 entre la France, la Grande Bretagne et le Tsar, qui partagèrent en secret l’actuel Moyen-Orient, finalement doté des pays et frontières actuels en 1922, lorsque la Société des Nations confirma les accords de San Remo de 1920].
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Egger Ph.