Une équipe de neuf scientifiques a mis au jour quelques données saisissantes en analysant la poussière collectée dans les heures et les jours qui ont suivi l’effondrement des tours du WTC, le 11 septembre 2001. Ils ont découvert, dispersés dans des échantillons de poussière, des éclats rouges et gris de "matériau thermitique actif" (explosif pyrotechnique non réagi).
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La thermite est utilisée pour la soudure de l’acier, ou dans les feux d’artifices ou les grenades à main. C’est la combinaison d’une poudre de métal et d’un oxyde de métal qui produit une réaction connue pour générer des températures extrêmement élevées, localisées sur une surface très petite et durant un temps très court. Le "matériau thermitique actif" découvert dans la poussière du WTC est une combinaison d’aluminium et d’oxyde de fer, une forme de thermite connu sous le nom de "super-thermite à nano-structure".
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“Ces observations nous rappellent la nano-thermite fabriquée au laboratoire national de Lawrence Livermore entre autre; des études existantes décrivent ce matériau comme un mélange intime de grains ultra-fins (UFG [Ultra-Fine Grain]) d’aluminium et d’oxyde de fer dont les composés nano-thermite donnent des matériaux pyrotechniques ou explosifs. La thermite que l’on trouve dans le commerce se comporte comme une bombe incendiaire lorsqu’elle est soumise au feu, mais quand les ingrédients sont des grains ultra-fins intimement mélangés, cette ‘nano-thermite’ réagit très rapidement, voire de manière explosive, et elle est alors parfois appelée "super-thermite", explique le rapport.
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L’article complet, publié dans le "Open Chemical Physics Journal", se trouve ici.
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Quelques-uns des auteurs de cette étude ont perdu leur emploi à l’université ou en laboratoire de chimie pour leurs déclarations sans détour sur ce qui s’est passé au WTC le 11 Septembre. Kevin Ryan a été licencié de son poste de directeur de laboratoire après avoir écrit une lettre à l’Institut National des Normes et de la Technologie (le NIST menait alors une enquête sur l’effondrement des tours du WTC) remettant en cause la théorie courante selon laquelle la combustion du kérosène des avions avait affaibli les structures d’acier supportant les deux gratte-ciel. Le professeur Steven E. Jones, un physicien à l’université de Brigham Young, a présenté une étude en 2005 sur les théories alternatives au raisonnement communément accepté de l’effondrement à cause du feu. En septembre 2006 il a été placé en congé administratif et son article a été retiré de la base de données du BYU.
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Vous trouverez ci-dessous la communication du Professeur Steven Jones concernant cette étude.
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Une image d’électron rétrodiffusé (back-scattered electron ou BSE en anglais)
est présentée dans l’étude nouvellement publiée.
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Publiée officiellement aujourd’hui, suite à un examen par des pairs, dans le journal Chemical Physics :
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"De la thermite active découverte dans les poussières de la catastrophe du 11 Septembre au World Trade Center"
"De la thermite active découverte dans les poussières de la catastrophe du 11 Septembre au World Trade Center"
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par Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley et Bradley R. Larsen.
par Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley et Bradley R. Larsen.
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Le document se termine par cette phrase : "Sur la base de ces observations, nous concluons que la couche rouge des échantillons rouge/gris que nous avons découverts dans la poussière du WTC est un matériau thermitique actif non-réagi, intégrant des nanotechnologies, et c’est un matériau pyrotechnique ou explosif à haute énergie".
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En bref, le document discrédite l’histoire officielle affirmant qu’il n’existe "aucune preuve" de présence de matériaux explosifs ou pyrotechniques dans les bâtiments du WTC.
Qu’est ce que peut bien faire un matériau explosif ou pyrotechnique de haute technologie en grande quantité dans les poussières du WTC ? Qui a fabriqué des tonnes de cette chose et dans quel but? Pourquoi les enquêteurs du gouvernement ont-ils refusé de rechercher des résidus d’explosifs dans le WTC ?
En bref, le document discrédite l’histoire officielle affirmant qu’il n’existe "aucune preuve" de présence de matériaux explosifs ou pyrotechniques dans les bâtiments du WTC.
Qu’est ce que peut bien faire un matériau explosif ou pyrotechnique de haute technologie en grande quantité dans les poussières du WTC ? Qui a fabriqué des tonnes de cette chose et dans quel but? Pourquoi les enquêteurs du gouvernement ont-ils refusé de rechercher des résidus d’explosifs dans le WTC ?
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Ces questions soulevées par cette étude scientifique sont de première importance.
L’examen par les pairs du présent document a été âprement discuté, avec des pages de commentaires par les arbitres. Les questions difficiles posées par les commentateurs ont conduit à plusieurs mois de nouvelles expériences. Ces analyses supplémentaires ont beaucoup apporté à l’étude, y compris l’observation et les photographies de micro-sphères riches en alliage fer-aluminium produites lorsque la matière chauffée est soumise à une Calorimétrie à Balayage Différentiel (CBD).
Ces questions soulevées par cette étude scientifique sont de première importance.
L’examen par les pairs du présent document a été âprement discuté, avec des pages de commentaires par les arbitres. Les questions difficiles posées par les commentateurs ont conduit à plusieurs mois de nouvelles expériences. Ces analyses supplémentaires ont beaucoup apporté à l’étude, y compris l’observation et les photographies de micro-sphères riches en alliage fer-aluminium produites lorsque la matière chauffée est soumise à une Calorimétrie à Balayage Différentiel (CBD).
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Les neuf auteurs ont entrepris une étude en profondeur des échantillons rouge-gris trouvés dans la poussière générée lors de la destruction du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’article stipule: "Les oxydes de fer sont intimement mélangés à l’aluminium dans la matière rouge. Chauffés dans un CBD, les échantillons démontrent une forte (même si limitée) réaction exothermique , se produisant à environ 430˚C, loin en dessous de la température normale d’inflammation de la thermite conventionnelle. Nombre de micro-sphères enrichies en fer sont clairement observables dans les résidus de chauffage de ces singuliers échantillons rouge/gris. La partie rouge de ces échantillons est évaluée comme étant un matériau thermique hautement énergétique et n’ayant pas réagi. "
Les neuf auteurs ont entrepris une étude en profondeur des échantillons rouge-gris trouvés dans la poussière générée lors de la destruction du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’article stipule: "Les oxydes de fer sont intimement mélangés à l’aluminium dans la matière rouge. Chauffés dans un CBD, les échantillons démontrent une forte (même si limitée) réaction exothermique , se produisant à environ 430˚C, loin en dessous de la température normale d’inflammation de la thermite conventionnelle. Nombre de micro-sphères enrichies en fer sont clairement observables dans les résidus de chauffage de ces singuliers échantillons rouge/gris. La partie rouge de ces échantillons est évaluée comme étant un matériau thermique hautement énergétique et n’ayant pas réagi. "
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Les images et les données méritent une attention particulière.
Les images et les données méritent une attention particulière.
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Quelques observations sur la production de ce document :
Quelques observations sur la production de ce document :
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1. Le premier auteur est le professeur Niels Harrit de l’Université de Copenhague au Danemark, un professeur auxiliaire de chimie. Il est expert en nano-chimie; ses activités de recherche actuelles et sa photo sont disponibles sur http://cmm.nbi.ku.dk/
1. Le premier auteur est le professeur Niels Harrit de l’Université de Copenhague au Danemark, un professeur auxiliaire de chimie. Il est expert en nano-chimie; ses activités de recherche actuelles et sa photo sont disponibles sur http://cmm.nbi.ku.dk/
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Structures Moléculaires aux Echelles de Temps Courtes et Ultra-Courtes, Un Centre de la Fondation de Recherche Nationale Danoise.
Structures Moléculaires aux Echelles de Temps Courtes et Ultra-Courtes, Un Centre de la Fondation de Recherche Nationale Danoise.
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Le Centre de Cinématographie Moléculaire a été inauguré le 29 Novembre 2005, à l’Institut Niels Bohr de l’Université de Copenhague. L’existence du Centre repose sur une subvention quinquennale de la Fondation de Recherche Nationale Danoise (voir, par exemple, www.dg.dk). Nous avons pour objectif d’obtenir en temps réel des "images" montrant comment se déplacent les atomes lors du déroulement d’un processus dans les molécules et les matériaux solides, en utilisant des impulsions ultra-brèves de laser à lumière visible et à rayons-X. L’objectif est de comprendre et ensuite d’influencer, à l’échelle atomique, les transformations structurelles associées à ces processus.
Le Centre de Cinématographie Moléculaire a été inauguré le 29 Novembre 2005, à l’Institut Niels Bohr de l’Université de Copenhague. L’existence du Centre repose sur une subvention quinquennale de la Fondation de Recherche Nationale Danoise (voir, par exemple, www.dg.dk). Nous avons pour objectif d’obtenir en temps réel des "images" montrant comment se déplacent les atomes lors du déroulement d’un processus dans les molécules et les matériaux solides, en utilisant des impulsions ultra-brèves de laser à lumière visible et à rayons-X. L’objectif est de comprendre et ensuite d’influencer, à l’échelle atomique, les transformations structurelles associées à ces processus.
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Le Centre combine l’expertise du Laboratoire National Risø de l’Université de Copenhague, et de l’Université Technique du Danemark sur la question des investigations sur la structure de la matière à partir du synchrotron à rayons X , basé sur la technique de la spectroscopie laser femto-seconde, de l’estimation théorique des processus femto-seconde, et de la capacité d’adapter les matériaux et de concevoir des modèles de systèmes pour des conditions d’expérimentations optimales.
Le Centre combine l’expertise du Laboratoire National Risø de l’Université de Copenhague, et de l’Université Technique du Danemark sur la question des investigations sur la structure de la matière à partir du synchrotron à rayons X , basé sur la technique de la spectroscopie laser femto-seconde, de l’estimation théorique des processus femto-seconde, et de la capacité d’adapter les matériaux et de concevoir des modèles de systèmes pour des conditions d’expérimentations optimales.
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On relèvera que le doyen du collège Harrit, Niels Andersen O, apparaît en tête de liste du Conseil consultatif de rédaction de la revue Science Bentham, où le document a été publié.
On relèvera que le doyen du collège Harrit, Niels Andersen O, apparaît en tête de liste du Conseil consultatif de rédaction de la revue Science Bentham, où le document a été publié.
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2. Le deuxième auteur est le Dr Jeffrey Farrer de BYU. http://www.physics.byu.edu/images/people/farrer.jpg
2. Le deuxième auteur est le Dr Jeffrey Farrer de BYU. http://www.physics.byu.edu/images/people/farrer.jpg
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3. Le Dr. Farrer apparaît en page 11 d’un article du magazine BYU Frontiers en date du printemps 2005: "Dr. Jeffrey Farrer, directeur de laboratoire pour le TEM" (TEM pour Transmission Electron Microscopy, Microscopie par Transmission Electronique). L’article dit: "Les microscopes électroniques TEM du laboratoire sont combinés pour donner des capacités BYU pratiquement uniques et sans rivales dans le monde entier." L’article est intitulé: Des Microscopes Rares et Puissants Déjouent les Secrets des Nano, ce qui est certainement vrai en ce qui concerne la découverte de la présente étude.
3. Le Dr. Farrer apparaît en page 11 d’un article du magazine BYU Frontiers en date du printemps 2005: "Dr. Jeffrey Farrer, directeur de laboratoire pour le TEM" (TEM pour Transmission Electron Microscopy, Microscopie par Transmission Electronique). L’article dit: "Les microscopes électroniques TEM du laboratoire sont combinés pour donner des capacités BYU pratiquement uniques et sans rivales dans le monde entier." L’article est intitulé: Des Microscopes Rares et Puissants Déjouent les Secrets des Nano, ce qui est certainement vrai en ce qui concerne la découverte de la présente étude.
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4. Félicitations à BYU d’avoir permis aux Docteurs Farrer et Jones et à leur étudiant en physique Daniel Farnsworth de mener les recherches décrites dans le document et d’avoir conduit les révisions internes de l’étude. Le Dr. Farrer était initialement le premier auteur de ce papier. Mais après un examen interne du document, les administrateurs BYU lui ont apparemment interdit d’être le premier auteur de tout document de recherche relatif au 11 Septembre (il semble que ce soit leurs prérogatives, mais ils l’expliqueront peut-être).
4. Félicitations à BYU d’avoir permis aux Docteurs Farrer et Jones et à leur étudiant en physique Daniel Farnsworth de mener les recherches décrites dans le document et d’avoir conduit les révisions internes de l’étude. Le Dr. Farrer était initialement le premier auteur de ce papier. Mais après un examen interne du document, les administrateurs BYU lui ont apparemment interdit d’être le premier auteur de tout document de recherche relatif au 11 Septembre (il semble que ce soit leurs prérogatives, mais ils l’expliqueront peut-être).
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Néanmoins, le document a été approuvé pour publication avec le nom du Dr Farrer et la liste de ses affiliations et en cela nous félicitons la BYU. Nous soutenons le Dr Farrer et nous le félicitons pour la recherche scientifique soignée présente dans le document.
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5. Peut-être qu’il y aura maintenant un examen de la SCIENCE explorée par les Professeurs Harrit et Jones, et par les Docteurs Farrer et Legge et leurs collègues, comme cela a été demandé à plusieurs reprises par ces scientifiques. Nous mettons au défi une université ou un groupe constitué de laboratoire pour réaliser un tel examen. Ce document sera un bon point de départ, avec deux autres documents évalués par des pairs mis en place dans les revues impliquant plusieurs des mêmes auteurs :
5. Peut-être qu’il y aura maintenant un examen de la SCIENCE explorée par les Professeurs Harrit et Jones, et par les Docteurs Farrer et Legge et leurs collègues, comme cela a été demandé à plusieurs reprises par ces scientifiques. Nous mettons au défi une université ou un groupe constitué de laboratoire pour réaliser un tel examen. Ce document sera un bon point de départ, avec deux autres documents évalués par des pairs mis en place dans les revues impliquant plusieurs des mêmes auteurs :
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- Quatorze points d’accord officiel avec les rapports du gouvernement sur la Destruction du World Trade Center. Auteurs: Steven E. Jones, Frank M. Legge, Kevin R. Ryan, Anthony F. Szamboti, James R. Gourley, The Open Civil Engineering Journal, pp.35-40, Vol 2
- Anomalies sur l’environnement du World Trade Center : les preuves de matériaux énergétiques; Auteurs: Kevin R. Ryan, James R. Gourley, et Steven E. Jones L’Environmentalist, août, 2008
- Quatorze points d’accord officiel avec les rapports du gouvernement sur la Destruction du World Trade Center. Auteurs: Steven E. Jones, Frank M. Legge, Kevin R. Ryan, Anthony F. Szamboti, James R. Gourley, The Open Civil Engineering Journal, pp.35-40, Vol 2
- Anomalies sur l’environnement du World Trade Center : les preuves de matériaux énergétiques; Auteurs: Kevin R. Ryan, James R. Gourley, et Steven E. Jones L’Environmentalist, août, 2008
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6. James Hoffman a écrit plus de trois essais pour expliquer les implications et les résultats de l’étude. Merci, Jim, pour ce travail! http://911research.wtc7.net/essays/thermite/index.html
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6. James Hoffman a écrit plus de trois essais pour expliquer les implications et les résultats de l’étude. Merci, Jim, pour ce travail! http://911research.wtc7.net/essays/thermite/index.html
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7. Des points importants de la recherche ont été corroborés de façon indépendante par Mark Basile du New Hampshire et par le physicien Frédéric Henry-Couannier en France, en s’appuyant sur des rapports scientifiques antérieurs à ces découvertes (par exemple, par le professeur Jones parlant au Colloque du Département de Physique de l’Université de la Vallée de l’Utah). Nous comprenons que des détails sont attendus pour bientôt de la part de ces chercheurs indépendants.
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Maintenant, lisez ce document de travail par vous-même, et parlez de ces découvertes autour de vous!http://www.bentham.org/open/tocpj/openaccess2.htm puis cliquez sur " Active Thermitic Materials Discovered……"
Maintenant, lisez ce document de travail par vous-même, et parlez de ces découvertes autour de vous!http://www.bentham.org/open/tocpj/openaccess2.htm puis cliquez sur " Active Thermitic Materials Discovered……"
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Steven Jones
Steven Jones