"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

29 juin 2008

Bilan

CHRONOLOGIE OFFICIELLE DES ÉVÉNEMENTS :

Au dire des autorités, les attentats du 11 septembre se sont déroulés de la façon suivante (l'heure peut varier de quelques minutes selon les sources - l'indication des étages du World Trade Center de New York est approximative) :

· 8 h 48 : un avion (Boeing 767, vol American Airlines AA 11 Boston-Los Angeles) percute la façade nord de la tour nord du WTC (tour 1 - la tour surmontée d'une antenne) entre le 80ème et le 85ème étage ;
· 9 h 03 : un deuxième avion (Boeing 767, vol United Airlines UA 175 Boston-Los Angeles) percute la façade sud de la tour sud du WTC (tour 2) entre le 70ème et le 75ème étage ;
· 9 h 38 : un troisième avion (Boeing 757, vol American Airlines AA 77 Washington-Los Angeles) s'écrase sur le Pentagone de Washington (partie centrale de la façade ouest) ;
· 10 h 05 : une heure après le crash, la tour sud du WTC s'effondre comme un château de cartes, les poutrelles d'acier constituant l'ossature du gratte-ciel ayant fondu ou cédé sous l'effet de l'incendie ;
· 10 h 10 : un quatrième avion (Boeing 757, vol United Airlines UA 93 Newark-San Francisco) s'écrase dans le Somerset County, en Pennsylvanie ;
· 10 h 28 : la tour nord du WTC s'effondre elle aussi, pour les mêmes raisons que la tour sud, mais une heure et 40 minutes après le crash ;
· 17 h 20 : le Building 7 du WTC s'écroule à son tour de manière inexplicable plus de huit heures après les attaques contre les deux tours.

Les quatre avions ont été détournés par des pirates de l'air qui, après avoir neutralisé ou tué les pilotes, ont lancé les appareils contre les cibles choisies. Dans le cas du quatrième avion, on pense qu'il était dans l'intention des terroristes de le faire exploser sur la Maison Blanche ou sur le Capitole, mais pour une raison inconnue, leur plan n'a pas abouti et l'appareil s'est écrasé au sol bien avant d'atteindre la capitale.

PREMIÈRES QUESTIONS - PREMIERS DOUTES :

L'opinion générale est que l'immense quantité de documents visuels diffusés par les médias corrobore la version officielle des faits. Un examen attentif et impartial du matériel disponible conduit cependant à un résultat sensiblement différent. Qu'avons-nous vu au juste le 11 septembre ? Tour nord du WTC : L'événement a surtout été photographié et filmé après l'explosion - A l'exception de la vidéo spontanée des frères Naudet, on ne dispose pas d'images montrant l'approche de l'avion et l'impact proprement dit. Contrairement aux images de la tour sud (voir plus bas), ni la vidéo ni la photo de gauche qui en est extraite ne permettent d'affirmer avec certitude qu'il s'agit d'un Boeing. Il pourrait aussi bien s'agir d'un avion de plus petite taille. L'empennage en forme de V fait penser au Global Hawk téléguidé (photo de droite). Les témoignages visuels sont contradictoires et probablement influencés par la présentation du crash sur la tour sud. D'ailleurs, selon le Bureau of Transportation Statistics (BTS) du ministère des Transports (DoT), il n'y a pas eu de vol AA 11 le 11/9/01, pas plus d'ailleurs que de vol AA 77 (Pentagone) -. Quant à l'effondrement des tours jumelles (nord et sud), les explications données officiellement sont pour le moins contestables. La destruction du Building 7 reste elle aussi entourée du plus épais mystère. Tour sud du WTC : Ici aucune contestation n'est possible pour ce qui est du crash. Les nombreux témoins alertés par l'explosion de la tour nord ont abondamment filmé et photographié la scène (voir plus bas). Ce sont d'ailleurs presque toujours ces images sans équivoque d'un avion percutant la tour sud qui sont présentées au public pour accréditer la thèse officielle - très peu ou pas du tout documentée - concernant les trois autres appareils. Pentagone : Il est fort douteux que les choses se soient passées contre le prétendent les autorités et les médias, car on n'a retrouvé sur place aucune trace d'un avion. On nous "explique" que le Boeing s'est volatilisé, c'est-à-dire que le métal de la carlingue s'est évaporé sous l'effet de la température. En revanche, les corps des victimes qui se trouvaient dans cette carlingue ont pu être identifiés !...

Pennsylvanie : On nous dit que des passagers ont tenté de s'opposer au détournement, contribuant peut-être au crash prématuré du Boeing, mais épargnant la capitale. Pour étayer cette affirmation, on fait état de plusieurs appels téléphoniques effectués depuis l'avion. Difficilement vérifiable, la chose n'est de toute façon que partiellement plausible. (On pouvait, en 2001, téléphoner depuis un avion volant à haute altitude en utilisant les téléphones de bord encastrés dans les sièges ; en revanche, les téléphones cellulaires n'étaient pas d'une grande utilité.

Le fait que des débris aient été retrouvés à douze kilomètres à la ronde semble indiquer que l'appareil a explosé en vol. A-t-il été abattu par la chasse américaine ? Pour le savoir, il faudrait connaître le contenu de la fameuse boîte noire. Elle aurait été retrouvée mais, bien entendu, rien n'a été divulgué ("secret défense"). Bien d'autres questions se posent touchant les circonstances de l'attentat, la réaction des autorités, les présumés coupables, etc....

BILAN OFFICIEL :

266 morts dans les quatre avions (bien que les listes publiées par les compagnies aériennes ne mentionnent que 231 noms). Si toutes les places avaient été occupées, il y aurait eu plus de 800 victimes.

125 morts au Pentagone (environ 25.000 personnes s'y trouvaient habituellement)

2.750 morts au World Trade Center, dont environ 350 pompiers et secouristes (en temps normal 50.000 personnes travaillaient au WTC, sans compter les nombreux visiteurs). Au départ les reponsables avaient fait état de 5.000 victimes, mais ce chiffre a été corrigé à la baisse.On ignore le nombre exact de rescapés. Sachant qu'il s'est écoulé 1 heure et 40 minutes entre le premier crash contre la tour nord et l'effondrement de celle-ci, et 1 h et 15 minutes entre ce même premier crash et l'effondrement de l'autre tour, on peut penser qu'un certain nombre de personnes ont pu se mettre à l'abri avant qu'il ne soit trop tard. Des témoins ont indiqué qu'on leur avait demandé, par haut-parleur, de ne pas quitter les lieux et de retourner à leur travail, pour des raisons de sécurité (sic). Ceux qui n'ont pas tenu compte de cette consigne criminelle ont accrû leurs chances de survie. Mais nul ne sait combien d'employés du WTC sont restés sur place, combien se sont trouvés bloqués dans les ascenseurs, combien ont péri dans les étages supérieurs, et combien ont perdu la vie par suite de la panique et des bousculades qui ont dû se produire un peu partout.

Il faut désormais compter une victime de plus dans le bilan des morts des attentats du 11 septembre 2001 à New-York. La ville a en effet décidé d'ajouter au bilan des attentats du World Trade Center une femme décédée d'une maladie des poumons, reconnaissant pour la première fois officiellement un lien entre un décès et l'exposition de la victime aux poussières du site. Felicia Dunn-Jones a été ajoutée mercredi au bilan new-yorkais, tenu par l'institut médico-légal de la ville et qui passe ainsi à 2 750 morts.

"Le fait que Mme Dunn-Jones ait été exposée à la poussière du World Trade Center le 11 septembre 2001 a contribué à son décès", écrit Charles Hirsch, le chef de l'institut médico-légal, dans sa décision. Cette avocate de 42 ans, qui le 11 septembre 2001 s'était retrouvée couverte de poussières alors qu'elle fuyait son bureau du sud de Manhattan, avait très vite développé une toux et des difficultés respiratoires, et était décédée cinq mois après les attentats.

Les autorités avaient d'abord rejeté une première demande de sa famille, qui souhaitait voir son nom ajouté à la liste de victimes. Mais elles évoquent aujourd'hui "des recherches scientifiques cumulées" pour expliquer leur retournement.

"Troubles respiratoires"

Dans une lettre envoyée à l'avocat de la famille de Mme Dunn-Jones, citée par le New York Times, M. Hirsch relève que "de plus en plus d'éléments montrent que chez certaines personnes l'exposition à la poussière du World Trade Center a causé des sarcoïdoses". Selon lui, bien qu'il ne soit pas certain que l'état de la victime ait pu être causé par sa présence sur le lieu du drame, "il est très probable... que l'exposition à la poussière du World Trade Center a été nocif pour elle".

Selon l'hôpital new-yorkais de Mount Sinai, plusieurs milliers de travailleurs, bénévoles, pompiers et autres ouvriers intervenus sur le site de Ground Zero les mois suivant les attentats, souffrent aujourd'hui de troubles respiratoires et ont besoin de traitements.

L'impact financier des attentats - un rapport officiel de la ville de New York (format pdf).