Selon les agences de presse Deutsche Presse-Agentur et Agenzia Giornalistica Italia, la police allemande a surpris des membres des services secrets américains en train d’essayer de faire passer des explosifs à travers un point de contrôle du sommet du G8 à Heiligendamm.
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Étrangement, l’incident n’a été rapporté par aucun grand média de langue française ou anglaise.
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Les services secrets américains pris en flagrant délit
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Selon deux dépêches des agences de presse Deutsche Presse-Agentur et Agenzia Giornalistica Italia, toutes deux datées du 7 juin 2007, des agents des services secrets américains ont tenté de faire passer une petite quantité d’explosif militaire de type C4 à travers un point de contrôle du sommet du G8 à Heiligendamm. L’explosif, dissimulé dans une valise à bord d’une voiture, a été découvert quand les appareils de détection de la police allemande ont sonné l’alarme. Les passagers du véhicule, habillés en civil, se sont alors identifiés comme étant des membres des services secrets américains. Interrogée par la Deutsche Presse-Agentur, la police allemande a refusé de commenter l’incident.
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Un silence médiatique déconcertant
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L’information a été discrètement rapportée par quelques journaux allemands, dont le Financial Times Deutschland et le Süddeutsche Zeitung. Par contre, aucun grand média francophone ou anglophone n’a jugé utile de nous informer de l’incident.
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Un tel silence médiatique est déconcertant. Difficile en effet de croire qu’aucun de ces grands médias n’ait eu vent de l’incident alors que celui-ci a fait l’objet de deux dépêches de presse reprises par plusieurs journaux allemands. Quant à imaginer que les rédactions aient délibérément choisi de ne pas mentionner l’incident de peur d’ennuyer leur public, cela ne semble guère plus vraisemblable.
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Que cherchaient les services secrets américains ?
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Les dépêches des deux agences de presse indiquent que les services secrets américains cherchaient à tester les contrôles de la police allemande. Les journaux allemands ayant rapporté l’incident ont repris cette explication.
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Cependant, plusieurs sites d’information sur Internet, dont notamment le Réseau Voltaire de Thierry Meyssan, ont émis une autre hypothèse : les services secrets américains préparaient un attentat dans le cadre d’une opération false flag.
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Cette seconde hypothèse est plus surprenante, mais pas pour autant absurde si l’on tient compte d’autres faits (présentés ci-dessous) dont les grands médias ont, là encore, curieusement oublié de nous informer.
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Mais commençons par voir ce qu’est une opération false flag.
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Les opérations false flag, une technique éprouvée
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Une opération false flag (traduction littérale : « opération faux drapeau ») peut être définie comme une opération secrète organisée par les services secrets d’un pays dans le but de produire un événement traumatisant (attentat terroriste, incident de frontière, etc.) qui sera attribué à un pays ou à une organisation adverse afin de mobiliser l’opinion publique contre ce pays ou cette organisation.
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Ces opérations servent généralement à prendre le pouvoir par la force ou à déclencher des guerres sous couvert de légitime défense. Les exemples historiques d’opérations false flag les plus connus attestent de la redoutable efficacité de cette technique pour manipuler les populations. On peut citer notamment :
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L’incendie du Reichtag en 1933, commis par les nazis d’Hitler mais attribué aux communistes, qui justifia l’arrestation des communistes, la suspension des libertés individuelles des citoyens allemands et permit au NSDAP l’accaparement quasi absolu du pouvoir.
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L’incident de Gleiwitz en 1939, monté de toutes pièces par les nazis pour servir de prétexte à l’invasion de la Pologne par Hitler.
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L’incident de Mukden en 1931, planifié par les Japonais qui accusèrent les Chinois d’avoir perpétré l’attentat, donnant ainsi le prétexte à l’invasion immédiate du sud de la Mandchourie par les troupes japonaises.
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L’opération Northwoods en 1962, qui consistait notamment en l’organisation d’une série d’attentats contre les États-Unis par l’état-major interarmées américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain. Le but était de justifier aux yeux de l’opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d’obtenir l’appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales. L’opération Northwoods, révélée par des documents officiels déclassifiés en 1997, ne fut jamais mis en œuvre car le président J.F. Kennedy s’y opposa.
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Plus récemment, selon plusieurs transfuges du FSB (successeur du KGB) dont le fameux Alexander Litvinenko empoisonné au polonium 210 en 2006, la série d’attentats dans la région de Moscou qui, pendant deux semaines en 1999, détruisit plusieurs immeubles d’habitation faisant près de 300 morts serait une opération false flag qui aurait été organisée par les services secrets russes. Opération false flag ou pas, cette vague d’attentats attribués aux Tchétchènes traumatisa la population russe et servit de prétexte au déclenchement de la seconde guerre de Tchétchénie.
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Le précédent de l’opération Northwoods
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Dans cette liste, il est intéressant de noter que l’opération Northwoods (heureusement jamais exécutée) prévoyait l’organisation par les services secrets américains d’attentats sur le sol des États-Unis, à Miami, dans d’autres villes de Floride et à Washington.
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De quoi faire réfléchir tous ceux qui tiennent de tels agissements pour impossibles dans une démocratie !
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Le 11 septembre 2001 : la plus grande opération false flag de l’Histoire ?
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Ce qui suit va vous surprendre si vous vous informez exclusivement auprès des grands médias, car ceux-ci ont passé ces informations sous silence.
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Pourtant, tous les faits mentionnés ci-dessous sont authentiques et vérifiables.
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Savez-vous par exemple que :
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Plusieurs centaines de personnalités américaines (militaires de haut rang, agents des services secrets, policiers, gouverneurs d’État, représentants ou sénateurs au Congrès, membres de la Commission officielle d’enquête sur le 11 septembre 2001, scientifiques, ingénieurs, architectes, professeurs d’universités, journalistes, professionnels des médias, écrivains, pilotes, survivants du 11 septembre et familles des victimes) contestent la version officielle de la Commission sur le 11-septembre et exigent du Congrès une nouvelle commission d’enquête, réellement indépendante.
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Nombre de ces personnalités affirment ouvertement que les faits matériels prouvent que ce ne sont pas les deux avions qui ont fait s’effondrer les trois tours (les tours jumelles et le bâtiment 7) du World Trade Center mais des explosifs placés à l’avance à différents étages jusque dans les sous-sols de ces tours (ce qui n’a pu être organisé et réalisé qu’avec la complicité des services secrets américains et de l’administration Bush).
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Selon un sondage réalisé par l’Institut Zogby aux États-Unis du 12 au 16 mai 2006, 42% des américains croient que le gouvernement des États-Unis et sa commission d’enquête sur le 11-septembre ont tenu cachées ou refusé d’étudier des preuves cruciales contredisant leur explication officielle des attaques du 11-septembre. Savez-vous que les fait matériels suivants (il y a en beaucoup d’autres) contredisent la version officielle :
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De multiples explosions se sont produites à différents étages des tours jumelles du World Trade Center, et ce jusque dans les sous-sols (bien documentées notamment grâce aux enregistrements vidéos et audios réalisés en direct le 11-septembre, aux enregistrements des communications radios des pompiers présents dans les tours et aux témoignages des survivants).
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Les tours jumelles et le bâtiment 7 se sont effondrés à une vitesse très proche de celle de la chute libre (vitesse mesurée sur les vidéos), c’est-à-dire quasiment sans résistance, malgré les nombreuses colonnes d’acier qui les soutenaient. Autrement dit, les trois bâtiments se sont effondrés à peu près à la même vitesse que si toutes leurs colonnes s’étaient instantanément volatilisées, ce qui est physiquement impossible.
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La température des feux dans les trois bâtiments était insuffisante pour provoquer la rupture des colonnes d’acier.
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Jamais un immeuble à structure d’acier ne s’était complètement effondré à la suite d’un incendie avant le 11 septembre 2001. Pourtant ce jour-là, trois tours à structure d’acier se sont effondrées à des vitesses proches de la chute libre, dont le bâtiment 7 qui n’avait été heurté par aucun avion et ne présentait que quelques feux isolés.
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Le déroulement de l’effondrement des tours jumelles (visible sur les vidéos filmées le 11-septembre) viole les principes de conservation de l’énergie et de conservation de la quantité de mouvement, deux principes de base de la physique, en l’absence d’un apport d’énergie dû à des explosifs placés dans les tours (voir l’analyse du professeur Steven Jones et l’interview du professeur Crockett Grabbe).
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Il n’existe toujours aucune explication officielle pour l’effondrement du bâtiment 7.
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Plusieurs vidéos filmées le 11 septembre prouvent que des personnes savaient à l’avance que les tours jumelles et le bâtiment 7 allaient s’effondrer (voir par exemple cette vidéo).
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D’éminents scientifiques spécialisés en physique (par exemple les professeurs américains Steven Jones et Crockett Grabbe) ou en dynamique de la structure des bâtiments (par exemple les professeurs suisses Hugo Bachmann et Jörg Schneider), ainsi que des experts en démolitions contrôlées (par exemple l’expert néerlandais Danny Jowenko : voir la vidéo sous-titrée en français) affirment que le bâtiment 7 a clairement fait l’objet d’une démolition contrôlée.
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L’effondrement du bâtiment 7 du World Trade Center (immeuble de 47 étages et de 174 m de haut) est sans doute le talon d’Achille de la version officielle du 11-septembre. L’endroit où chacun, même sans formation scientifique, peut se rendre compte de l’évidence, à savoir que le bâtiment 7 a fait l’objet d’une démolition contrôlée. Or, il était physiquement impossible de placer les explosifs, détonateurs et télécommandes nécessaires à cette démolition contrôlée dans le court laps de temps (7 heures) entre l’effondrement de la seconde tour et celui du bâtiment 7 (effondré à 17h20, heure locale), d’autant qu’il y avait encore des feux isolés à plusieurs étages. Là-dessus, l’expert néerlandais Danny Jowenko est formel : c’était impossible (voir la vidéo sous-titrée en français). Alors, la seule possibilité restante est que les explosifs ont été placés dans le bâtiment 7 avant le 11 septembre 2001. Ce qui signifie que le gouvernement et la commission officielle ont menti. Et, s’il y avait des explosifs dans le bâtiment 7 et qu’on nous l’a caché, pourquoi n’y en aurait-il pas eu aussi dans les tours jumelles ?
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Comme vous voyez, le bâtiment 7 est probablement la clé pour faire éclater la vérité. Pas étonnant dans ces conditions que la commission officielle d’enquête sur le 11-septembre ne mentionne même pas le bâtiment 7 dans son rapport final. Quant aux médias américains, ils ont tellement bien évité de parler du bâtiment 7 que, selon un sondage de Zogby International réalisé du 12-16 mai 2006, 43 % des Américains ne savaient même pas qu’un troisième bâtiment s’était effondré à New York le 11 septembre 2001 !
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Pour en savoir plus sur le faits (notamment ceux ci-dessus) qui contredisent la version officielle du 11-septembre, les documents suivants, gratuitement accessibles sur Internet, sont particulièrement recommandés :
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L’excellent site Reopen911.info (en français).
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Le film 911 Mysteries (sous-titré en français - durée 1 h 30) consacré à l’effondrement des trois tours du World Trade Center.
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Le film Loose change 2 (sous-titré en français - durée 1 h 20).
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L’étude scientifique « Réexaminer le 11/09/2001 - En appliquant la méthode scientifique » du Professeur américain de physique Steven Jones (l’original est en anglais)
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Comme vous le voyez, il existe de bonnes raisons de penser, comme de nombreux américains, que les attentats du 11 septembre 2001 sont une gigantesque opération false flag ayant servi, d’une part, à fortement réduire les libertés civiles des citoyens américains et à donner des pouvoirs d’exception au président (USA Patriot Act), d’autre part, à justifier les guerres d’Afghanistan et d’Irak.
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Les médias et le 11 septembre 2001
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Mais alors, comment expliquer qu’un tel silence médiatique pèse sur le mouvement de contestation de la version officielle du 11 septembre ? Pourquoi les journalistes ne font-ils pas leur travail d’investigation ?
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Ce silence est vraisemblablement lié à l’énormité de l’affaire. Ce qui n’excuse pas pour autant les médias et les journalistes. Ce témoignage vidéo de Karl Zéro sur les raisons de cette chape de plomb médiatique autour du 11-septembre est particulièrement édifiant.
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Sachez quand même que dans d’autres pays les médias ont bien mieux fait leur travail. En Norvège par exemple, l’édition norvégienne du Monde diplomatique a publié dans son numéro de juillet 2006 un dossier sur les attentats du 11-septembre concluant qu’ils sont le fruit d’un complot intérieur américain. L’affaire ayant fait grand bruit, les grands médias écrits et audiovisuels de Norvège ont publié leurs propres enquêtes, soit acceptant le doute, soit arrivant à la même conclusion.
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Qu’attendent donc l’édition française du Monde diplomatique, le quotidien Le Monde et les autres média français pour en faire autant ?
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Les lettres piégées à la maladie du charbon ("anthrax") de l’après 11-septembre : encore une opération false flag ?
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Les médias n’en parlent plus depuis longtemps, tout le monde semble l’avoir oublié, l’enquête du FBI s’est enlisé, mais rappelez-vous, le 18 septembre 2001, une semaine à peine après le 11 septembre 2001, des lettres piégées au bacille du charbon commençaient à circuler à travers les États-Unis.
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Les cinq premières lettres furent adressées à des journaux et des chaînes de télévision à New York et à Boca-Raton en Floride. Les deux suivantes, contenant des doses mortelles du bacille, visèrent deux sénateurs : Thomas A. Daschle, le président du groupe démocrate majoritaire au Sénat, et Patrick J. Leahy, le président démocrate du comité judiciaire du Sénat. Toutes les lettres contenaient une note sur laquelle figurait entre autre l’inscription « DEATH TO AMERICA. DEATH TO ISRAEL. ALLAH IS GREAT. » En tout, 22 personnes furent infectées et cinq en moururent. Le ou les coupables courent toujours.
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L’enquête bâclée du FBI a quand même montré par analyse ADN que les bacilles de toutes les lettres provenaient sans aucun doute d’une souche unique développée au laboratoire militaire américain de Fort Detrick, Maryland (pour plus d’information sur les lettres piégées et sur l’enquête du FBI, voir ce documentaire sur le History Channel). Par ailleurs, dans les deux dernières lettres adressées aux deux sénateurs démocrates, les spores du bacille formaient une poudre remarquablement fine, d’une qualité militaire extrêmement difficile à obtenir. Environ 25 à 50 scientifiques avaient accès à cette souche. Le FBI a un temps soupçonné un chercheur, avant d’abandonner faute de preuves. Difficile d’ailleurs d’obtenir des preuves, étant donné que la souche d’origine du bacille conservée dans le laboratoire militaire de Fort Detrick avait été détruite les 10 et 11 octobre 2001 avec l’autorisation du FBI !
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Selon toute vraisemblance, cette vague d’attaques au bacille du charbon, qui créa une véritable psychose dans la population américaine se superposant et prolongeant celle causée par le 11-septembre, n’avait donc rien à voir avec Bin Laden ou des terroristes islamistes. La source en était certainement américaine, proche des laboratoires militaires développant des armes biologiques. Les inscriptions « DEATH TO AMERICA. DEATH TO ISRAEL. ALLAH IS GREAT » visaient donc à faire porter le chapeau au terrorisme islamique. Autrement dit, il s’agissait d’une opération false flag.
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Combien de médias de part et d’autre de l’Atlantique nous ont informés de cette conclusion ?
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Bien peu, semble-t-il, ou alors discrètement.
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Mais à quoi aurait donc servi cette opération false flag juste après le 11-septembre ?
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D’abord, il convient de noter un fait important : ce sont des parlementaires démocrates, c’est-à-dire de l’opposition, qui ont reçu des lettres piégées alors que G.W. Bush était le président des États-Unis. Ensuite, les deux démocrates en question n’étaient pas n’importe qui. Ils étaient les deux parlementaires démocrates qui pouvaient le plus s’opposer au vote du fameux USA Patriot Act, l’un comme leader du groupe démocrate au Sénat, l’autre comme président de la commission judiciaire du même Sénat. Or justement, à y regarder de plus près, il se trouve des coïncidences chronologiques étonnantes entre les attaques par lettres piégées et la naissance difficile du Patriot Act. Voyez par vous-même (pour une chronologie plus détaillée, voir ici) :
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16 sept. : un projet de loi antiterroriste est proposé.
18 sept. : les deux premières lettres piégées sont envoyées à des journalistes.
2 oct. : le projet de loi antiterroriste USA Patriot Act est présenté au Congrès américain.
3 oct. : le leader de la majorité démocrate au Sénat, Thomas A. Daschle, annonce qu’il doute que le Sénat puisse voter sur le projet de loi avant la semaine suivante comme le demandait le gouvernement Bush. Le ministre de la Justice, John A. Ashcroft, accuse le Sénat démocrate de traîner les pieds.
4 oct. : le président du comité judiciaire du Sénat, le démocrate Patrick J. Leahy, accuse le gouvernement de revenir sur un accord concernant la loi antiterroriste. Certains mettent en garde que « les législateurs sont en train de laisser passer des dispositions anticonstitutionnelles dans leur empressement à suivre le calendrier imposé par le gouvernement ».
5 au 9 oct. : la presse fait état de difficultés dans l’examen du Patriot Act. Le 8 octobre, le Washington Post rapporte que le « Congrès a perdu une partie de l’unité induite par le choc des attaques du 11-septembre ».
9 oct. : deux lettres piégées identiques sont postées, visant les sénateurs Daschle et Leahy.
10 et 11 oct. : la souche originale du bacille du charbon des lettres piégées est détruite au laboratoire militaire de Fort Detrick avec l’autorisation du FBI.
11 oct. : l’examen du Patriot Act commence au Sénat et à la Chambre des représentants.
15 oct. : le bureau du sénateur Daschle ouvre la lettre piégée. Celle du Sénateur Leahy est déroutée par erreur vers la Virginie.
16 oct. : le bâtiment hébergeant les bureaux du Sénat est évacué et fermé.
17 oct. : la Chambre des représentants est évacuée et fermée. 28 employés sont testés positivement au bacille du charbon.
24 oct. : la Chambre des Représentants vote la version finale du Patriot Act.
25 oct. : le sénateur Daschle accepte que le Patriot Act ait une durée de vie de quatre ans renouvelables, au lieu des deux ans non renouvelables qu’il défendait précédemment.
26 oct. : le Sénat vote la version finale du Patriot Act.
26 oct. : le président Bush signe l’USA Patriot Act dont la constitutionnalité est douteuse.
27 oct. : la Cour uprême des États-Unis est évacuée et fermée pour cause d’alerte au bacille du charbon.
28 oct. et au-delà : plus aucune attaque au bacille du charbon.
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À la lumière de ce qui précède, il ne faut pas être grand clerc pour se demander si la vague de lettres piégées au bacille du charbon était une opération false flag servant à favoriser le passage en force de l’USA Patriot Act, une loi constitutionnellement douteuse qui a fortement réduit les libertés individuelles des citoyens américains et conféré au président Bush et aux services secrets des pouvoirs exceptionnels.
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La détermination des "néo-cons" à attaquer l’Iran
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Alors que la plupart des observateurs, y compris conservateurs, admettent que la guerre en Irak est perdue, il est un secret de polichinelle à Washington que les bellicistes "néo-cons", Dick Cheney en tête, sont déterminés à bombarder l’Iran, avec des bombes nucléaires tactiques si nécessaire.
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La population américaine, par contre, échaudée par le bourbier irakien, est certainement moins enthousiaste à l’idée d’attaquer l’Iran. Mais une provocation flagrante de l’Iran pourrait changer cela.
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L’avertissement de Zbigniew Brzezinski devant la Commission des affaires étrangères du Sénat
Auditionné le 1er février 2007 par la Commission des affaires étrangères du Sénat, l’ancien conseiller national de sécurité Zbigniew Brzezinski (l’équivalent démocrate de Henri Kissinger) a lu une déclaration dont il avait soigneusement pesé les termes (la vidéo de l’audition peut être vue ici et une traduction en français là).
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À l’exception du Washington Note et du Financial Times, les grands médias ont décidé de ne pas rapporter les propos de Zbigniew Brzezinski (vous pouvez le vérifier pour les médias anglais ici et français là), alors que l’audition de Henri Kissinger devant la même commission la veille avait été largement couverte par les médias.
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Devant la commission, Brzezinski a déclaré : « Un scénario possible pour un affrontement militaire avec l’Iran implique que l’échec irakien atteigne les limites américaines ; suivi par des accusations américaines rendant l’Iran responsable de cet échec ; puis, par quelques provocations en Irak ou un acte terroriste sur le sol américain dont l’Iran serait rendu responsable. Ceci pourrait culminer avec une action militaire américaine "défensive" contre l’Iran qui plongerait une Amérique isolée dans un profond bourbier englobant finalement l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan et le Pakistan. »
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Vous avez bien lu : Brzezinski a évoqué la possible organisation par l’administration Bush d’un attentat sur le sol des États-Unis qui serait faussement attribué à l’Iran pour provoquer une guerre.
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Autrement dit, une opération false flag.
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Ce pourrait-il qu’une telle opération ait été déjouée par la police allemande au sommet du G8 de Heiligendamm ? Par exemple, une tentative d’attentat contre Bush ou d’autres chefs d’État du G8, attribuée à l’Iran. À moins qu’elle n’eut été attribuée aux manifestants altermondialistes afin de les diaboliser, une autre hypothèse envisageable.
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Conclusion
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Comme vous pouvez le constater, le silence médiatique concernant l’incident du sommet du G8 de Heiligendamm n’était pas un cas isolé. Cela fait beaucoup d’informations importantes dont les grands médias semblent avoir oublié de nous informer, notamment concernant le 11 septembre 2001.
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Il est grand temps que les médias fassent leur travail et jouent enfin leur rôle de contre-pouvoir. Ce serait d’ailleurs dans leur intérêt bien pensé, car si la vérité sur le 11-septembre devait surgir au grand jour grâce à un mouvement citoyen organisé par Internet (ce qui semble inéluctable vu la dynamique du mouvement), sans que les grands médias n’aient mené la moindre enquête sérieuse sur le sujet, il ne fait guère de doute que leur réputation et leur crédibilité n’y survivraient pas.
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Même s’il semble inéluctable que les citoyens prennent tôt ou tard conscience des absurdités de la version officielle du 11-septembre, il est essentiel que cela se matérialise avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant qu’un nouveau 11-septembre (réel ou sous la forme d’une opération false flag) ne se produise.
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En effet, dans un entretien publié dans l’édition de nov.-déc. 2003 du magazine américain Cigar Aficionado rapporté dans un article du magazine américain Newsmax (daté du 21 novembre 2003) intitulé « Gen. Franks Doubts Constitution Will Survive WMD Attack », le général Tommy Franks, commandant en chef des forces américaines lors des invasions de l’Afghanistan et de l’Irak, n’a pas fait de mystère sur ce qui se passerait dans une telle situation. Il a déclaré que « si, les États-Unis sont attaqués avec une arme de destruction massive faisant de nombreuses victimes, la Constitution sera probablement écartée pour une forme militaire de gouvernement ».
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Les médias et les journalistes auront-ils le courage de faire sortir la vérité sur le 11-septembre avant d’en arriver là ?
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Egger Ph.