"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

21 novembre 2001

Vidéos AZF

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AZF Gendarmerie 13H45
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Le journal de France 2, près de 4 ans après l'explosion de Toulouse, a abordé, ce Vendredi 16 Septembre 2005, le sujet de l'enquête encore en cours par le biais d'une des accusations de manipulation possible de Total lors des premières heures.

Je tiens en vous informer qu'une autre manipulation, elle, a été effectuée et peut être prouvée avec des documents que je détiens.

Je dispose des images de la vidéo originale DVCPRO de M6-Toulouse, reprenant 3 secondes du vol d'un hélicoptère AS 350 B au-dessus de collège Bellefontaine 8 minutes après l'explosion du Hangar 221. Ces images m'ont été fournies avant qu'elles soient déposées auprès de la justice.

Dessus, nous pouvons distinguer l'hélicoptère de la Gendarmerie nationale bleu et blanc qui quitte le site vers l'Ouest 8 minutes après l'explosion alors qu'il était sensé, d'après la trajectrographie fournie par la police des airs, arriver sur cette zone 12 minutes après l'explosion.

Les images originales révèlent sans aucun problème la présence, pendant son vol, du couvercle supérieur de la tuyère soulevé à la vertical par le souffle.

La trajectographie issue du document judiciaire D598 que j'ai pu consulter montre avec un décalage avancé de 15 minutes et une translation de 1km vers le Sud de cette même courbe une compatibilité parfaite, à chaque endroit, avec l'ensemble des témoignages déposés de cet hélicoptère dans les minutes qui ont précédé et suivi l'explosion.

Cet hélicoptère était là au moins 2 minutes avant l'explosion et il disposait d'un énorme objet ovoïde très clair (comme la forme d'un mini-hélicoptère) sur son flanc gauche.

L'analyse des points de la trajectoires espacés toutes les 6 secondes permet de prouver une manipulation de la trajectoire gràce à certaines contraintes de vol que le pilote n'a pas pu effectuer 12 minutes après l'explosion et par des passages répétés sur des secteurs très particuliers.

Voilà un des points encore en attente de mise au jour.

Depuis 4 ans, jamais la responsabilité possible de l'armée n'a été évoquée alors que de très nombreux éléments obscurs présents dans le dossier pourrait être grandement expliqués par l'hypothèse d'essais militaires dans le domaine des tirs électromagnétiques avec amorçage explosifs souterrains.

Je le fais aujourd'hui et ce parce que, qu'ils soient ATOFINA, les experts nommés dont la plupart dépendent de l'armée, les juges d'instruction, les industriels voisins, EDF, tous essaient surtout d'ETOUFFER les éléments scientifiques nombreux ainsi que l'analyse des témoignages que des toulousains ont déposés dès les premiers jours.

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T. AZF