8 octobre 2014

Les attaques à l’anthrax en 2001 : une conspiration interne aux USA




Voici un livre paru en anglais et qui ne sera sans doute jamais traduit ni publié en Europe, faute d’éditeur intéressé. Pourtant, il nous dévoile, preuves à l’appui, que les fameuses attaques à l’anthrax d’octobre 2001 ne sont qu’une gigantesque manipulation, étroitement liée aux attentats du 11-Septembre, et qu’elles ont probablement été menées par le même groupe de personnes au sein même de l’administration Bush. Leur but : faire porter le chapeau aux extrémistes islamiques, faire passer les lois liberticides PATRIOT Act, lancer les guerres d’invasion en Afghanistan et en Irak et plus généralement la “Guerre au Terrorisme”. Objectifs tous atteints, comme nous le voyons 13 ans après.


SYNOPSIS

Les attaques aux lettres empoisonnées à l’anthrax en 2001 aux États-Unis ont tué cinq personnes et en ont blessé des dizaines d’autres. Elles ont rapidement été imputées aux extrémistes islamiques et à ceux qui les soutiennent, et ont servi de prétexte pour les guerres d’invasion en Afghanistan et en Irak.

Elles ont également été utilisées pour justifier et accélérer le vote des lois USA PATRIOT Act, qui ont été présentées au Congrès alors que la première victime de l’anthrax tombait gravement malade.

En octobre 2001, l’une des hypothèses qui gagnaient du terrain était celle du “double coupable”, à savoir qu’al-Qaïda avait perpétré ces attaques avec le soutien de l’Irak. De nombreuses preuves furent avancées pour corroborer cette hypothèse du double coupable, mais des chercheurs indépendants ont très vite découvert que ces spores d’anthrax provenaient non pas d’al-Qaïda ou d’Irak, mais d’un laboratoire situé aux USA et travaillant pour l’armée et les services secrets US.

Le FBI a alors déclaré avoir identifié le responsable des attaques et a clamé haut et fort qu’il s’agissait d’un « loup solitaire ». En 2008, le Bureau a désigné le Dr. Bruce Ivins de l’Institut médical des maladies infectieuses de l’armée US comme le « tueur à l’anthrax ». Même si le FBI reste toujours accroché à ce scénario « Ivins », cette hypothèse a rapidement été démontée au cours de ces trois dernières années. Elle est aujourd’hui traitée avec mépris non seulement par les scientifiques qui travaillaient avec Ivins, mais aussi et surtout par de nombreux journalistes et sénateurs américains.

Mais cela soulève la question : si Ivins n’a pas commis ce crime, alors qui l’a fait ?

Ce livre nous présente les éléments factuels qui montrent que :
1.Les attaques à l’anthrax ont été menées par un groupe de personnes, et non par un « loup solitaire ». Elles sont, par conséquent, le fruit d’une conspiration, au sens où il s’agit d’un plan mené par au moins deux personnes, en secret, et dans un but illégal ou immoral.
2.Le groupe qui a perpétré ce crime est constitué, pour la plupart, de personnes infiltrées au sein même de l’appareil d’État américain.
3.Ces infiltrés sont les mêmes que ceux qui ont planifié les attentats terroristes du 11-Septembre.
4.Les attaques à l’anthrax avaient pour but de faciliter une prise de pouvoir par une branche exécutive du gouvernement, en utilisant l’arme de l’intimidation contre le Congrès et la société civile américaine.

Elles avaient également pour objectif de provoquer l’assentiment et le soutien du public pour le revirement de la politique étrangère américaine, en remplaçant la Guerre froide par un nouvel ensemble global de guerres d’agression, la “guerre au terrorisme”.


L’escroquerie de l’anthrax en 2001

Une affaire de conspiration interne aux USA
par Graeme MacQueen


Voir également la vidéo en anglais publié par Global Research sur GRTV en décembre 2012 :




Graeme McQueen
Titulaire d’un PhD en Études bouddhiques à l’Université de Harvard et a enseigné pendant 30 ans au Département des Études de la religion à l’Université McMaster, où il a fondé et est devenu le Directeur du Centre d’Études pour la Paix, après quoi il a développé le programme d’Études pour la Paix et a supervisé le développement des projets en faveur de la paix au Sri Lanka, à Gaza, en Croatie et en Afghanistan. Graeme fut l’un des membres du Comité d’organisation des « Auditions de Toronto » qui se sont tenues en 2011 lors de la commémoration des 10 ans des attentats du 11/9, et il est coéditeur du Journal of 9/11 Studies.

Il est actuellement membre du 9/11 Consensus Panel, un groupe de 24 personnalités de différents pays qui à ce jour a produit, à l’aide d’une méthode rigoureuse utilisée dans le domaine médical, 44 Points de Consensus (intégralement traduits en français) réfutant point par point les affirmations officielles sur les attentats du 11-Septembre.