"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

28 septembre 2014

L' incendie du Old Executive Building de Washington: "Angel is next"


11/9/2001 : le jour où G.W. Bush devait mourir

Le bâtiment du bureau exécutif Eisenhower (Eisenhower Executive Office Building ou EEOB), anciennement appelé Old Executive Office Building, est un bâtiment de l'Administration des services généraux et est occupé par le Bureau exécutif du président des États-Unis. Il est situé à Washington, sur la 17e Rue, entre Pennsylvania Avenue et New York Avenue, à proximité immédiate de la Maison-Blanche



Lors des attentats du 11 septembre 2001, une importante fumée fut aperçue provenant de derrière le bâtiment et filmée par ABC News. Le bâtiment fut d'ailleurs évacué durant la journée du 11 septembre 20014. Peu de temps après les attentats, la partie donnant sur la 17e Rue fut vidée et la modernisation de ses espaces laissés libres débuta (certaines anciennes cachettes abritant des documents datant des années 1910 à 1940 furent ainsi mises à jour).

La chaîne de télévision ABC retransmit en direct l’incendie de l’OEOB le 11 Septembre à 9 h 42 heure locale...


Ce bâtiment fédéral, tout comme le Département d'Etat, se situe tout près du Capitole et de la Maison Blanche, dans le périmètre ultraprotégé de Washington DC (on imagine mal des membres arabes d'Al Qaida pénétrer dans cet endroit pour y mettre le feu...) : encore un fait oublié peu de temps après le 11 septembre, et qui s'ajoute aux catastrophes plus connues que sont l'attaque du Pentagone et celles sur le WTC de New-York, il ne peut en être dissocié (les premières images du bâtiment en feu au matin du 11 septembre furent diffusées par la chaîne américaine ABC, sans plus de commentaires ou d'explications)...


Incendie du 19 décembre 2007





Le bâtiment, appelé Bâtiment d'État, de la Guerre et de la Marine (State, War, and Navy Building) car il abritait les trois départements (équivalent de ministères) d'État, de la Marine et de la Guerre fut construit entre 1871 et 1888. La construction, supervisée par l'architecte Alfred B. Mullett, fut réalisée dans un style Second Empire français.

Cependant, son principal but public est de servir comme bureau de cérémonie du vice-président (à l'époque Dick Cheney, emmené de force dans un bunker appelé PEOC ce jour-là)...

D’après le secrétaire général de la Maison Blanche et d’après le porte parole de la Maison Blanche qui se sont exprimés dans les jours qui ont suivi le 11 septembre et qui se sont rétractés 18 jours plus tard, ils ont expliqué en détail comment aux environs de 10h le service de protection des hautes personnalités, le secret service, avait reçu un appel des assaillants contenant manifestement quelque chose à négocier et qui pour authentifier cet appel avaient donné les codes secrets d’authentification et de transmission de Air Force One, l’avion présidentiel et de la Maison Blanche.

Tandis que l’on tente d’éteindre l’incendie qui se développe dans l’Old Executive Office Building, le Secret Service contraint le vice-président Dick Cheney à quitter son bureau et le met à l’abri au PEOC (Presidential Emergency Operations Center), la salle de commandement souterraine située sous l’aile ouest de la Maison-Blanche. Devant l’ascenseur qui le descend au bunker, Dick Cheney est rejoint par la conseillère nationale de sécurité, Condoleezza Rice, et par divers membres du cabinet. Simultanément, le Secret Service fait évacuer l’immeuble présidentiel et déploie aux alentours des agents spéciaux et des tireurs d’élite armés de fusils-mitrailleurs et de lance-roquettes. Il se prépare à repousser un éventuel assaut par des troupes aéroportées...

Pour disposer de ces codes secrets, il n’y a que quelques personnes qui ont cela. Donc ça ne peut être que des gens au sommet de l’appareil d’État américain qui ont organisé cela. Ensuite quand le Président Bush est informé de cette chose la, il a une réaction immédiate. Il est à ce moment là en route en avion vers Washington. On lui apprend que les codes de transmission et d’authentification ont été volés. Donc ça veut dire que n’importe qui peut usurper sa qualité. N’importe qui peut déclencher le feu nucléaire.

Ou peut-être c’est la 3ème guerre mondiale que lui veut déclencher le feu nucléaire et quelqu’un va lancer un contre-ordre. Comment peut-on savoir ce qui est vrai, ce qui est faux, les codes ont été volés. Donc il n’a qu’une solution, il se précipite à la base stratégique qui est le centre nerveux de la force de frappe nucléaire américaine et là par sa présence physique il peut authentifier ce qui est vrai et ce qui est faux. Une fois qu’il est dans ce bunker il organise une vidéoconférence avec ses conseillers qui sont à la maison Blanche, Condolezza Rice, Dick Cheney, etc… et nous ne savons pas du tout ce qui se passe pendant cette vidéoconférence, mais ce qui et clair, c’est qu’on discute du message qui a été téléphoné par les assaillants et qu’à la fin de cette vidéoconférence, il dit qu’il n’y a plus de problèmes. Donc logiquement c’est qu’on a bien négocié quelque chose pendant ce moment là.

On le sait peu, sauf si on se donne la peine de creuser, mais le jour-même de ce désastre le président américain reçu, à 6h du matin (!!) la visite de mystérieuses personnes du moyen-orient qui, se faisant passer pour des journalistes (ça ne vous rappelle rien ???) voulaient l'interroger ? Ils n'avaient aucun rendez-vous ni aucune invitation ou accréditation. Les services secrets les ont évidemment refoulés.

Les faits se sont déroulés au Colony Beach and Tennis Resort à Longboat Key, en Floride. Un complexe hôtelier qui a désormais cessé ses activités (en aout 2010), et cet épisode fut rapporté par le Sarasota Herald-Tribune, le 10 septembre 2002, mais aussi par le Longboat Observer, un journal local, et ce dès le 26 septembre 2001...

je suis certain que plus d'un aura fait le rapprochement avec l'assassinat du Commandant Massoud, tué dans un attentat suicide le 9 septembre 2001 à Khwadja Bahauddin, dans la province de Takhar au nord-est de l'Afghanistan. Les auteurs de l'attentat, les Tunisiens Dahmane Abd el-Sattar et Rachid Bouraoui el-Ouaer, avaient pu l'approcher en se faisant passer pour des journalistes munis de faux passeports belges et équipé d'une caméra volés à France 3 à Strasbourg. Sa mort a précédé de deux jours les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, et tous les observateurs ou enquêteurs (journalistes, services secrets, hommes politiques) admettent sans faillir que les deux événements furent coordonnés... Notons que Longboat Observer faisait encore état dans son édition du 21 septembre 2001, et selon les dires de multiples témoins, de la présence de Mohamed Atta au Longboat Key Holiday Inn, à très brève distance de l'endroit où M. Bush séjournait... Difficile d'imaginer une coïncidence...

Le chef de la Maison Blanche se savait-il menacé ? En tous cas, cela semble être le cas puisque dans la nuit du 10 septembre, un hélicoptère de surveillance supplémentaire fut affecté à sa protection. En outre, du 4 au 30 août 2001, le président Bush a passé ses vacances dans son ranch du Texas, à Crawford. Et en permanence, des F-15 et des F-16 étaient en l’air pour surveiller son domaine. Unique dans les annales de sa présidence...

Difficile de ne pas penser que des menaces pesaient sur la personne de G.W. Bush... Imaginez l'emballement de l'histoire, les répercussions inévitables et l'engrenage innarêtable si le président de l'hyper puissance avait été tué dans des circonstances identiques à celle de Massoud... Le crime aurait bien profité! Mais justement, qui en aurait tiré profit?

Pour le comprendre, il faut bien se remémorer certains événements de ce jour funeste! Le fait qu'un objet volant puisse s'introduire dans l'espace aérien du Pentagone, sans être repéré, sans être arrêté, sans que le bâtiment ne soit évacué, sans qu'un avion ou un hélicoptère ne décolle, sans que les batteries de missiles qui protègent l'enceinte ne s'activent, tout cela est une aberration et n'est possible que si des ordres (voire des contre-ordres) sont donnés! Pareillement pour le survol du Pentagone et de la Maison Blanche par le fameux avion blanc (Doomsday), avion militaire s'il en est et susceptible de déclencher le feu nucléaire.

Pour autant qu'il ait les codes de lancement. Eh bien, justement, il les avait... Et ceci appuie totalement les confidences d'Ari Fleischer, porte-parole de la Maison-Blanche, et de Karl Rove, secrétaire général de la Maison-Blanche, auprès de journalistes du New York Times et du Washington Post, déclarant que le Secret Service a reçu au cours de la matinée un appel téléphonique crypté des commanditaires des attentats (qui ne sont évidemment pas des islamistes...), probablement pour poser des exigences. Pour créditer leur appel, les assaillants ont révélé les codes secrets de transmission et d'authentification de la présidence, d’Air Force One mais aussi, selon les dires de Karl Rove, de la Drug Enforcement Administration, du National Reconnaissance Office, de l’Air Force Intelligence, de l’Army Intelligence, du Naval Intelligence, du Marine Corps Intelligence, et des bureaux de renseignement du Département d’État et du Département de l’Énergie... On voit donc déjà très mal des terroristes arabes, armés de cutter (comme on nous l'a fait croire) avoir le moyen d'envoyer à Air Force One un message (obligatoirement codé) pour le menacer...

Les prétendus terroristes ne sont que les boucs émissaires et, dans cette histoire, de simples exécutants totalement manipulés par plus malins qu'eux!

Précisons encore que fut aussi dite par les commanditaires la phrase "Angel is next" : Angel étant le nom de code d'Air Force One...

Seules quelques personnes de confiance, situées au sommet de l'appareil d'État pouvaient disposer de ces codes d'authentification! Ceci nous explique parfaitement pourquoi Doomsday planait au-dessus du Pentagone et de la Maison Blanche, tel une épée de Damocles... La menace véritable c'était lui, car si les codes sont compromis on ne peut que se résoudre au chantage exercé! Et il y eut bien chantage.

L'attitude du Président Bush confirme tout ceci. Au moment où on lui apprend la chose, il est à bord d'Air Force One, il a décollé à 9h54 de Sarasota airport. Il prend conscience qu'il n'est à ce moment maître du jeu (s'il l'a jamais été). Le feu nucléaire peut se déclencher à tous moments par les possesseurs des codes d'authentification. Même (et peut-être SURTOUT) depuis Doomday Aircraft...

La destination initiale était semble-t-il Washington mais il s’est subitement dirigé vers la Louisiane où il s’est posé à 11h 44 à Barksdale Air Force Base.

Ce qu'il importe de bien comprendre c'est que cette base est celle qui gère toutes les missions nucléaires de l'armée de l'air des États-Unis! Cet endroit est le Air Force Global Strike Command (AFGSC), abrégé en Global Strike Command : commandement majeur de l'United States Air Force pour les frappes nucléaires! Et s'il s'y rend c'est pour une seule et unique raison : certifier par sa présence tout ordre relatif aux frappes nucléaires! Si son identité peut être usurpée par les assaillants, la seule possibilité pour les empêcher de donner des ordres à sa place à l’armée des États-Unis est de se tenir physiquement là où sont contrôlées toutes les armes de destruction massive, dont les bombes atomiques. Les codes étant compromis, c'est la seule manière de les authentifier formellement. De plus, à cet instant DoomsDay plane toujours au-dessus de washington : difficile de s'y rendre quand on se sait ou sent menacé...

À 13h04, toutes les chaînes de télévision américaines interrompent leurs programmes pour relayer en direct le message de George W. Bush qui apparaît dans un studio indéterminé. On saura par la suite que cette allocution a été enregistrée à la base de Barksdale.

Notons tout de même encore qu'à 13h38 le Président Bush quitta la base aérienne de Barksdale et arriva à 15h07 à l’U.S. Strategic Air Command d’Offutt près d’Omaha dans le Nebraska. Cette base, centre névralgique de la Stratcom, organisait (comme par hasard en ce jour du 11 septembre...) l’exercice Global Guardian (en liaison avec la base Barksdale) : exercice de très grande ampleur contre des attentats sur le territoire des États-Unis où sont mis en œuvre des simulations de détournement d’avion dont des crashs sur des immeubles. Des centaines de personnes étaient impliquées dans cet exercice ainsi que des dizaines d’avions.

On peut penser que là aussi son intervention physique n'avait d'autre sens que d'ordonner la fin de cet exercice majeur qui empêchait, véritablement, de bien "voir" et comprendre qui ou quoi se trouvait dans les airs! Car il est vrai, et je l'expliquerai plus loin, que de multiples leurres apparaissaient sur les radars : nul ne sachant s'ils faisaient partie de l'exercice proprement dit ou étaient réels. Cette visite présidentielle avait de l'intérêt et du sens...

D’autant plus que Bush présida, depuis un bunker antiatomique de la base, une réunion du Conseil national de sécurité en vidéo-conférence. Pendant soixante-cinq minutes, il converse entre autre avec Dick Cheney et Condoleezza Rice, qui se trouvaient toujours dans le PEOC (Presidential Emergency Operations Center) de la Maison-Blanche, et avec Donald Rumsfeld au NMJIC (National Military Joint Intelligence Center) du Pentagone.

Il n'est pas trop difficile d'imaginer que l'on passa en revue les options disponibles, et la teneur de la demande des assaillants... Mais on peut aussi s'imaginer que les agresseurs eux-mêmes dialoguaient avec le président! Car s'il est vrai que du contenu de cette réunion rien n’a jamais filtré, des décisions y ont pourtant été prises qui ont modifié l’évaluation de la crise. En effet, en terminant la discussion Bush laissa entendre qu'il ne subsistait aucun problème majeur : estimant désormais tout danger écarté au point de remonter à bord d’Air Force One pour rejoindre enfin la capitale fédérale...

Difficile donc de se départir de cette pensée lancinante appuyant sur la réalité d'une négociation. Quelconque...

Nul ne vit plus Doomsday ensuite. Ni a Washington, ni ailleurs Mais ce doit être une coïncidence... Une de plus!

Fleischer confirma le 12 septembre que la menace contre Air Force One était "réelle et crédible." Notons cependant que Rove et Fleischer se sont rétractés dix-huit jours, disant que les journaux avaient mal interprété leurs paroles... Dix-huit jours plus tard !! Oui, mais voilà : le fait est également confirmé et relaté sous serment devant la Commission le 6 février 2004 par la Directrice de la White House Situation Room, le Capitaine Deborah Loewer... Bien sûr cette fumeuse Commission ne tînt pas cette information pour importante voire capitale, mais on ne s'en étonne même plus...

Il faut bien le reconnaître, à la lueur des éléments, il m'apparait difficile de penser encore avec certitude que Bush est acteur de cette tragédie... Il semble qu'il en soit bel et bien une victime, un pantin pris dans un engrenage le dépassant, une marionnette sans autorité et qui fut incapable de contrecarrer les agissements d'une clique fanatique, avide de pouvoir, de puissance et d'argent...

Egger Ph.