"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

14 avril 2013

Shanksville, en Pennsylvanie : Le site d’un crash d’avion … sans avion



Il s’agit d’un aspect méconnu du 11-Septembre. Pourtant, les seules zones d’ombre de la version officielle des attentats relatives à ce qui s’est passé dans la petite ville de Shanksville en Pennsylvanie devraient suffire à justifier l’ouverture d’une enquête digne de ce nom.

Où est passé l’avion ?


Shanksville, en Pennsylvanie, le 11-Septembre : Le mystérieux site de la catastrophe aérienne, sans avion…

Par Shoestring sur son blog, le 19 février 2013

Traduit par François pour ReOpenNews, illustrations ajoutées par la rédaction

"Cet accident était différent. Il n’y avait aucune épave, aucun corps, et pas de bruit."
- Wallace Miller, médecin légiste du comté de Somerset [1]
"Je cherchais quelque chose : une queue, une aile, un avion, du métal. Il n’y avait rien."
- Le photographe Scott Spangler [2]
"J’ai été surpris parce que cela ne ressemblait en rien à un accident d’avion."
- Patrick Madigan, commandant de la caserne de Somerset de la police d’État de Pennsylvanie [3]


Parmi ceux qui ont vu l’endroit où le vol 93 United Airlines est censé s’être abattu le 11 septembre 2001, beaucoup ont dit à quel point il différait de ce qu’ils s’attendaient à voir sur le site d’un crash d’avion.

Selon les rapports officiels, le vol 93, le quatrième avion détourné le 1-Septembre, s’est écrasé dans un champ en Pennsylvanie après que de courageux passagers et membres de l’équipage aient tenté d’en reprendre le contrôle. Toutefois, de nombreuses personnes qui ont vu le site de l’accident supposé ont rapporté n’y avoir pratiquement rien vu qui ressemble à l’épave d’un avion. Certains témoins ont rappelé avoir vu peu ou pas de restes humains sur le site. Et bien que le vol 93 ait été décrit comme "lourdement chargé de kérosène" quand il s’est écrasé, les enquêteurs n’ont trouvé aucune contamination de carburant dans le sol et la nappe phréatique autour du site.

Il y a beaucoup de faits, concernant le crash du vol 93, qui jettent de sérieux doutes sur la version officielle des événements. Ces faits suggèrent que des témoins ont vu ce qui pourrait en fait avoir été le résultat d’une mise en scène effroyable destinée à planter le décor d’un accident aérien différent de l’accident réel. La quantité de débris relativement faible signalée par des témoins a pu être placée là. Si cela est vrai, cela signifierait que le sort connu par le vol 93 reste inconnu.

Le vol 93 se serait écrasé à la suite d’une rébellion de ses passagers contre les pirates de l’air

Officiellement, le vol 93, un Boeing 757-200, a décollé de l’aéroport international de Newark, New Jersey, à 8h42 le matin du 11-Septembre, à destination de San Francisco en Californie. Il comptait, à son bord, sept membres d’équipage et 37 passagers – dont quatre pirates de l’air. Les 46 premières minutes se sont déroulées normalement. Mais à 9h28, les pirates de l’air ont pris le contrôle de l’avion, avec l’intention de l’écraser sur la Maison Blanche ou sur le Capitole à Washington DC.

Toutefois, des membres de l’équipage et des passagers ont rapidement commencé à appeler par téléphone des amis, collègues et membres de leur famille, pour relater ce qui se passait et ils ont pu ainsi prendre connaissance des attentats sur le World Trade Center. Réalisant que leur détournement faisait partie d’un plan plus vaste contre l’Amérique, ils décidèrent de se battre contre les pirates de l’air. Ils ont commencé leur assaut en direction du cockpit à 9h57. En réponse, les pirates de l’air ont choisi d’écraser l’avion plutôt que de risquer une reprise de contrôle par les passagers et membres d’équipage.

Le Vol 93 s’est écrasé dans un champ de la Pennsylvanie rurale, près de la petite ville de Shanksville, à 10h03, à une vitesse de l’ordre de 900 km/h. Au dernier moment, l’avion s’est retourné et s’est écrasé sur le dos d’après un angle de 40 degrés, son aile droite et son nez frappant le sol en premier. Toutes les personnes à bord ont été tuées. [4]

Il y a, cependant, de sérieux problèmes avec cette version des faits. Le plus frappant d’entre eux étant que nombre de faits indiquent qu’aucun avion ne s’est écrasé là où le vol 93 est censé avoir frappé le sol.

Les témoins n’ont vu que des débris de très petite taille sur la scène du crash

Le Vol 93 pesait 127 tonnes, selon le reporter et écrivain du New York Times, Jere Longman. [5] Et pourtant, de nombreuses personnes, y compris les premiers à arriver sur les lieux, ont décrit n’avoir rien vu qui ressemble à l’épave d’un avion sur le lieu du crash. L’assistant chef des pompiers, Rick King, qui conduisait le premier camion de pompiers à atteindre le site, se rappelle ce qu’il s’est dit quand il est arrivé : "Où est cet avion ? Et où sont les gens ?" King a vu "des milliers de petits morceaux éparpillés aux entours, des morceaux de métal, d’isolation, des fragments de câbles, mais pas de fuselage, pas d’aile, seulement un cratère fumant et de la terre calcinée." [6] Il a envoyé ses hommes dans les bois à la recherche du fuselage, mais ils sont revenus en lui disant : « Rick, il n’y a rien. » [7]

Homer Barron, qui est également arrivé peu de temps après l’accident, s’est souvenu : "ça ne ressemblait pas à un accident d’avion, parce qu’il n’y avait rien qui ressemblait à un avion." Il a ajouté: «Je [n'ai] jamais rien vu de semblable. C’était comme un gros tas de charbon.». [8]

Jon Meyer, le premier journaliste arrivé sur place, a déclaré qu’il "avait été en mesure de se rendre jusqu’au bord du cratère" où le vol 93 était censé s’être écrasé. 

Toutefois, il a décrit: "Tout ce que j’ai vu, c’est un cratère rempli de petites pièces d’avion calcinées. Rien qui indique qu’il s’agissait de l’avion. … Il n’y avait pas de valises, pas de pièces d’avion identifiables, aucun débris de corps.». [9] Le coroner local Wallace Miller, qui était aussi l’une des premières personnes à arriver, a décrit le cratère "comme si quelqu’un avait apporté un camion de ferraille, creusé un fossé de 3 mètres de profondeur, et jeté tout cela dans le trou." [10]

Frank Monaco de la police d’État de Pennsylvanie a dit que le site ressemblait à "un tas d’ordures." Il n’y avait "rien d’autre que de petits morceaux de débris", a-t-il dit. "C’était juste jonché de petits débris." [11] Selon Monaco, "ça ne ressemblait pas à un accident d’avion." [12] Scott Spangler, un des photographes arrivé parmi les premiers sur les lieux, a déclaré : "J’étais à la recherche de quoi que ce soit qui ressemble à une queue, une aile, un avion, du métal." Mais, s’est-il rappelé, "Il n’y avait rien, juste ce trou". "Je pensais ne pas être au bon endroit", a-t-il commenté. [13]

Et l’agent du FBI Wells Morrison, le responsable sur le site du crash le 11-Septembre, a dit que sa première pensée sur la scène, avait été: "Où est l’avion?" Il s’est rappelé que "la plus grande partie de ce que j’ai vu était ce genre de choses en nid d’abeille qui sert, je crois, à l’isolation ou quelque chose comme ça." Il a ajouté, "je ne voyais rien qui pouvait être assimilé à des restes humains ou des débris d’avion." [14]

Cette scène était différente de celle d’un accident d’avion

Un certain nombre de témoins ont déclaré expressément qu’ils pensaient que la scène ne ressemblait pas à celle d’un accident d’avion. Lyle Szupinka, un commandant de zone de la police de l’État de Pennsylvanie, a déclaré que quand il est arrivé, "Il y avait des débris, de petits débris déposés partout, et il y avait un tas de papiers volant autour, et le sol était en feu." Les débris étaient "très, très petits." Mais, a t-il ajouté, "Il n’y avait en fait rien qui ressemble à un avion." Szupinka a déclaré : "Si vous n’aviez pas su que c’était un accident d’avion, vous auriez examiné tout ça et vous auriez dit que quelque chose s’était passé sans savoir quoi." [15]

Un habitant de la région, John Maslak a été l’un des premiers à arriver sur le site, il a vu le cratère où le vol 93 est censé s’être écrasé. Un soldat lui a dit qu’un avion s’était écrasé là. Mais Maslak a indiqué : "C’était impossible. Le trou n’était pas assez grand et il n’y avait rien." [16]

Patrick Madigan, commandant de la police de l’État de Pennsylvanie, a dit : "Quand j’ai regardé le trou, je ne savais pas que c’était là que l’avion s’était écrasé. J’ai pensé, au début, qu’il s’agissait d’une fosse de combustion de la compagnie de charbon. " Un pompier a dit que c’était là que l’avion a percuté le sol. "J’ai été surpris", se souvient Madigan, "parce qu’il n’y avait d’aucune façon quelque chose qui ressemble un crash d’avion. Je me suis dit que je verrais des parties d’avion reconnaissables. Mais dans la fosse, il n’y avait rien de tel." [17] Craig Bowman, un collègue de Madigan, se rappelle : "Jusqu’à ce moment-là, je n’avais jamais vu le site d’accident d’un gros avion, je pensais que je devrais en voir des parties reconnaissables, des sièges, etc. "Toutefois, a t-il dit, "Il n’y avait rien que je puisse reconnaître comme appartenant à un avion." [18]

William Baker, de l’Agence de gestion des urgences du comté de Somerset, s’est rappelé : « Quand ils ont dit que c’était un 757, j’ai regardé à travers le champ de débris. J’ai dit "Ce n’est pas possible qu’il y ait un 757 éparpillé ici." Baker a ajouté : "Le plus gros morceau de débris que j’ai vu aurait probablement pu tenir dans ma poche." [19] Et Paul Bomboy, un ambulancier qui a répondu à l’appel d’aide initial, a déclaré : "C’est une chose très étrange qu’il n’y ait pas eu les choses normales auxquelles vous vous attendez. Quand un avion s’écrase, il y a un avion et il y a des corps. " [20]

Michael Soohy, un agent vétéran du FBI, avait été sur des lieux d’accidents d’avion auparavant et s’attendait à voir "le chaos, les corps, [et] une grosse épave d’un jet." Mais, a t-il commenté "Je pense que personne ne s’attendait à ne rien voir." [21]

L’avion a été apparemment "avalé" par le sol

Certains témoins ont dit que c’était comme si le vol 93 avait été "avalé" par le sol. Bob Weaver, un gradé de la sûreté de l’État de Pennsylvanie au lieu du crash présumé, se souvient : "J’ai été totalement surpris que ce gros avion puisse être englouti dans le sol. … Il a fallu un certain temps pour s’habituer à l’idée qu’il y avait un avion là-dedans. " [22] Michael Soohy a suggéré qu’au moment où l’avion a heurté le sol c’était comme si "une flèche avait frappé un tas de farine. … L’avion est entré dedans et le tas s’est refermé." [23] Et le chef des pompiers Terry Shaffer a dit qu’il pensait que "la terre s’est littéralement ouverte, a avalé l’avion, et s’est refermée." [24]

Bob Craig, le chef de l’équipe de réponse du FBI de Pittsburgh, a décrit plus tard ce qui s’était potentiellement passé, en disant : "Faîtes tourner l’image du second avion qui a frappé le World Trade Center sur le côté et d’un certain point de vue, la façade du bâtiment est la mine à ciel ouvert à Shanksville." [25]

On a suggéré que le sol, à l’endroit où le vol 93 s’est soi-disant écrasé, était particulièrement mou. Le site où l’avion serait tombé était celui d’une ancienne mine de charbon. Cela signifie que le terrain avait été creusé jusqu’à une veine de charbon, le charbon enlevé, et la terre replacée. Le terrain était donc relativement mou et, par conséquent, comme le décrivent les pompiers impliqués dans les opérations de sauvetage : "le Boeing 757 s’est enfoncé directement dedans" [26]

Mais si on suppose que le vol 93 a disparu dans la terre, le cratère qu’il y aurait fait semble trop petit pour lui. Frank Monaco a déclaré aux journalistes que le "creux en forme de V" créé par l’avion avait "environ 3 mètres de profondeur et de 5 à 7 de long." [27] Roger Bailey, du département des pompiers volontaires de Somerset, a rappelé que le cratère "n’était pas profond. 3 ou 4 mètres de profondeur." Bailey a déclaré qu’il "pensait que c’était un trou pour brûler des déchets." [28]

John Maslak a estimé que le cratère avait "peut-être 8 mètres de large sur 13 de long" et "3 à 5 mètres de profondeur." [29] Après que le sol ait été creusé pour récupérer l’épave de l’avion, le cratère n’avait que 12 mètres de profondeur, selon le FBI. [30]

Le vol 93 avait une envergure de 40 mètres, une hauteur d’empennage de 12 mètres, et faisait 52 mètres de long. [31] Est-il vraiment possible qu’un tel avion, en heurtant le sol, ait fait un seul cratère d’environ 14 mètres de long, et de 8 de large, et disparaissent entièrement dans le sol à seulement 12 mètres de profondeur ? Comme l’a indiqué le journaliste Jon Meyer : "On ne peut croire qu’un avion tout entier tienne dans ce cratère." [32]

Comment peut-on expliquer l’absence presque complète de tout ce qui ressemble à un avion à l’emplacement du crash présumé ? Les témoins auraient vu beaucoup plus de débris si un Boeing 757 était bel et bien tombé là-bas. Une possibilité qui doit être prise en considération, par conséquent, est que le vol 93 ne s’est pas écrasé dans ce champ près de Shanksville. Le nombre relativement faible de débris qui ont été vus auraient été déposés là dans le cadre d’une tentative élaborée pour simuler la scène d’un accident d’avion. L’intention des auteurs étant de tromper le public en lui faisant croire que le vol 93 s’est bel et bien écrasé sur ce site.

Les enquêteurs n’ont trouvé aucune trace de fuel dans le sol

Il existe beaucoup d’autres éléments solides à l’appui de cette thèse. Par exemple, les rapports indiquent qu’aussi incroyable que cela puisse paraître, aucune trace de carburant n’a été trouvé dans le sol ni dans les eaux souterraines aux alentour, près du prétendu lieu du crash du vol 93.

Le département de la Protection de l’Environnement de Pennsylvanie (DEP) a commencé à prélever des échantillons de terre et d’eau de puit autour du site environ une semaine après le 11-Septembre, à la recherche de contamination par le vol 93, en carburant ou autres matières toxiques. [33] La charge en carburant du vol 93 a été estimée à environ 25 000 litres de carburant, pesant environ 16,5 tonnes, quand il s’est écrasé. [34] Mais David Bomba, un hydrogéologue du DEP, a déclaré aux habitants que les premiers échantillons de sol et d’eau testés se sont révélé être sains. [35] Et quelques semaines plus tard, au début d’Octobre 2001, le DEP a rapporté qu’"aucune contamination" n’avait été découverte. [36] Le porte-parole du DEP, Betsy Mallison a dit : "qu’il ait brûlé ou qu’il se soit évaporé, une grande partie du [carburant de l'avion] semble s’être évanoui." [37]

United Airlines a mandaté l’entreprise Environmental Resources Management, Inc. pour étudier la qualité des sols et de l’eau au lieu de l’accident présumé. Cette société a publié un rapport final en Septembre 2002, qui décrit les résultats des échantillons prélevés. Le rapport conclut que "la surface des sols, les sous-sols et les eaux souterraines sous le site ne dépassent pas les normes de santé publique et ne nécessitent aucune travail d’épuration." En outre, selon le rapport, "Aucun des résultats n’indique que les eaux de surface aient subi une quelconque contamination qui puisse être attribué à l’accident du vol 93." [38]

Curieusement, malgré l’absence de carburant dans le sol, des "points chauds", se sont parfois révélés dans le cratère où le vol 93 s’est soi-disant écrasé. Les enquêteurs ont indiqué que ceux-ci ont débuté dès le matin du 12 Septembre. [39] Une excavatrice a ensuite été utilisée pour nettoyer du cratère, pour aider les enquêteurs à récupérer l’épave et les fragments de corps qui étaient enterrés là. [40] Selon les pompiers volontaires Barry Kister, "Le département des pompiers volontaires de Shanksville a été appelé de temps en temps, parce que quelqu’un avait creusé dans un de ces points chauds causant ainsi un début d’incendie." [41] Cependant, il n’est pas clair si quelque chose a été fait pour déterminer la nature de ces "points chauds".

Les témoins n’ont pas vu de restes humains sur le lieu du crash

Une caractéristique importante du site du crash présumé, qui jette un doute supplémentaire sur la réalité des faits, c’est qu’en plus de l’absence d’épave d’avion, les témoins ont remarqué l’absence de restes humains.
Il y avait 44 personnes sur le vol 93 le 11-Septembre, représentant un poids total de 3 tonnes environ. [42] Et pourtant, Jeff Phillips, l’un des premiers à arriver sur le lieu du crash supposé, se souvient : "La seule chose que nous avons vu qui pouvait constituer un débris d’origine humaine était une moitié de chaussure qui se trouvait à 3 mètres de la zone d’impact." [43] Dave Fox, un ancien pompier, est également arrivé peu de temps après l’accident. Tout ce qu’il a vu qui ressemblait à des restes humains étaient trois morceaux de tissu humain déchiré. «Vous saviez qu’il y avait des gens là-bas, mais vous ne pouviez pas les voir», a commenté Fox. [44] Kelly Leverknight, un résident local qui s’est rendu sur la scène de l’accident avec un voisin, se souvient : «Nous n’avons pas pensé qu’il y avait des gens dans l’avion parce que nous n’avons rien vu qui l’indique." [45]

Lyle Szupinka, de la police d’Etat de Pennsylvanie, a déclaré à un journaliste : "Si vous avez été sur le site d’un accident d’avion, vous savez comme c’est dur avec les restes humains et tout le reste." Ensuite, il a dit: «Quand je suis allé sur ce site, je me suis préparé à une scène difficile à supporter.». Mais il se souvient : «Quand je suis arrivé, j’ai été surpris de constater l’absence de tout reste humain. Rien de tel.» [46]

Wallace Miller, le médecin légiste du comté de Somerset, était présenté comme étant "familier avec des scènes de mort soudaine et violente." "J’ai vu beaucoup de tués sur les routes où il y a fragmentation», a-t-il dit. Mais après avoir parcouru le site pendant une heure, la seule partie de corps reconnaissables qu’il avait vu était un morceau d’épine dorsale avec cinq vertèbres attachées. [47] "Tout se passait comme s’il n’y avait pas de passagers ou d’équipage sur cet avion", a commenté Miller. [48] Un an après le 11-Septembre, il a dit: "C’est la chose la plus étrange. Je n’ai pas vu une seule goutte de sang, pas une goutte." [49]


Notes :

[1] David McCall, From Tragedy to Triumph. Johnstown, PA: Noah’s Ark Publishing Company, 2002, p. 86[2] Newseum With Cathy Trost and Alicia C. Shepard, Running Toward Danger: Stories Behind the Breaking News of 9/11. Lanham., MD: Rowman & Littlefield, 2002, p. 149[3] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash: Flight 93 Aftermath–An Oral and Pictorial Chronicle. Somerset, PA: SAJ Publishing, 2002, p. 60 [4] 9/11 Commission, The 9/11 Commission Report: Final Report of the National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States. New York: W. W. Norton & Company, 2004, pp. 10-14; "Frequently Asked Questions (FAQs): Flight 93 National Memorial." National Park Service, July 2011[5] Jere Longman, "Flight 93: Refusing to Give in Without a Fight." New York Times, September 11, 2002[6] Michael Cowden, "Memories of Flight 93 Crash Still Fresh at 5-Year Anniversary." Associated Press, September 3, 2006[7] Jere Longman, Among the Heroes: United Flight 93 and the Passengers and Crew Who Fought Back. New York: HarperCollins, 2002, p. 216.[8] "The Crash in Somerset: ‘It Dropped Out of the Clouds.’" Pittsburgh Post-Gazette, September 12, 2001[9] Newseum With Cathy Trost and Alicia C. Shepard, Running Toward Danger, p. 148
[10] Peter Perl, "Hallowed Ground." Washington Post, May 12, 2002[11] "The Crash in Somerset: ‘It Dropped Out of the Clouds.’" [12] Michael Cowden, "Memories of Flight 93 Crash Still Fresh at 5-Year Anniversary." [13] Newseum With Cathy Trost and Alicia C. Shepard, Running Toward Danger, p. 149[14] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 110[15] Richard Gazarik and Robin Acton, "Black Box Recovered at Shanksville Site." Pittsburgh Tribune-Review, September 14, 2001; "Oral History Interview of Major Lyle H. Szupinka." Pennsylvania State Police Historical, Educational & Memorial Center, May 31, 2007. [16] Patty Yauger, "Tribute Flags Serve as Reminder of Attack Victims, Terror War’s Costs." Uniontown Herald-Standard, June 16, 2005; "Never Forget: New 9/11 Scholarships Help Students." WINK News Now, November 10, 2011[17] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, pp. 59-60[18] Ibid. p. 64
[19] Ibid. p. 43[20] David McCall, From Tragedy to Triumph, p. 25[21] Michael Cowden, "Memories of Flight 93 Crash Still Fresh at 5-Year Anniversary." [22] Sally Kalson, "Voices of 9/11: Witness, First Responder, Coroner, Relative." Pittsburgh Post-Gazette, March 30, 2012[23] Michael Cowden, "Memories of Flight 93 Crash Still Fresh at 5-Year Anniversary." [24] Susan Nicol Kyle, "Pennsylvania Firefighters Share Bond With Flight 93 Families." Firehouse, September 11, 2008[25] Jere Longman, Among the Heroes, p. 260[26] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 121; Wes Allison, "Small Town Shoulders a Nation’s Grief." St. Petersburg Times, September 10, 2003[27] "Jet Crashes Near Somerset; Passenger Reported Hijacking in Phone Call." Associated Press, September 11, 2001[28] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 130[29] Patty Yauger, "Tribute Flags Serve as Reminder of Attack Victims, Terror War’s Costs"; "Never Forget: New 9/11 Scholarships Help Students." [30] "Response and Recovery: Shanksville, Pennsylvania." Federal Bureau of Investigation, n.d. [31] "757-200 Technical Characteristics." Boeing, n.d. [32] Newseum With Cathy Trost and Alicia C. Shepard, Running Toward Danger, p. 148[33] Steve Levin and Tom Barnes, "Flight 93 Relatives Gathering for Service." Pittsburgh Post-Gazette, September 17, 2001; Mike O’Brien, "More Than 70 Agencies Involved in Flight 93 Crash Investigation." Daily American, September 20, 2001[34] John O’Callaghan and Daniel Bower, "Study of Autopilot, Navigation Equipment, and Fuel Consumption Activity Based on United Airlines Flight 93 and American Airlines Flight 77 Digital Flight Data Recorder Information." National Transportation Safety Board, February 13 2002;"Frequently Asked Questions (FAQs): Flight 93 National Memorial." [35] Mike O’Brien, "More Than 70 Agencies Involved in Flight 93 Crash Investigation." [36] Tom Gibb, "Latest Somerset Crash Site Findings May Yield Added IDs." Pittsburgh Post-Gazette, October 3, 2001[37] "Environmental Restoration Begins at Somerset Site." Pittsburgh Channel, October 2, 2001[38] Robert E. McCleery, Summary of Evidence for Establishing Dates on Which Cleanup of the Pentagon and Shanksville, Pennsylvania Sites of the Terrorist-Related Aircraft Crashes of September 11, 2001 Concluded. World Trade Center Health Program, February 8, 2012, pp. v-vi, 21-23[39] Mike Wagner and Ken McCall, "Calls Suggest Passengers Thwarted Hijackers." Dayton Daily News, September 13, 2001[40] Mary Jo Dangel, "Sacred Ground in Pennsylvania." St. Anthony Messenger, September 2006; "Response and Recovery: Shanksville, Pennsylvania." [41] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 56[42] Peter Perl, "Hallowed Ground." [43] David McCall, From Tragedy to Triumph, pp. 29-30[44] Robb Frederick, "The Day That Changed America." Pittsburgh Tribune-Review, September 11, 2002
[45] Bobbie Black, "Witnesses Recall Plane Crash." Daily American, September 12, 2001[46] "Oral History Interview of Major Lyle H. Szupinka." [47] Jere Longman, Among the Heroes, p. 217; Gerard Wright, "On Hallowed Ground." The Age, September 9, 2002[48] David McCall, From Tragedy to Triumph, pp. 86-87. [49] Robb Frederick, "The Day That Changed America"






Shanksville, en Pennsylvanie, le 11-Septembre : Le mystérieux site de la catastrophe aérienne, sans avion…


Suite 


Une grande quantité de papiers ont résisté à l’accident

Cependant, bien que les témoins aient été frappés par l’absence surprenante d’épave d’avion et de restes humains au lieu supposé du crash, de grandes quantités de papiers ont été vues et récupérées à cet endroit.
Kelly Leverknight se rappelle avoir vu "un tas de papier." [50] Faye Hahn, un technicien médical d’urgence, a déclaré avoir vu "des papiers partout." Lors de l’inspection, elle a constaté qu’il s’agissait de "courrier postal." [51] Roger Bailey a rappelé que "le courrier était éparpillé un peu partout." Et même Rick King se souvient : "Il y avait du courrier éparpillés un peu partout." [52]

Lee Purbaugh, l’une des premières personnes à arriver sur place, a d’abord pensé que l’avion qui s’est écrasé "était un avion-cargo transportant du courrier, parce que quand il a couru vers la scène actuelle, il n’a pas remarqué de carnage, juste un peu de courrier aux alentour", selon le Daily American. [53] Selon Jere Longman, ce que Purbaugh a vu incluaient "des enveloppes avec des adresses en Californie, des magazines, [et] du papier sur le sol et dans les arbres." Certaines de ces enveloppes étaient brûlées, mais d’autres n’étaient pas endommagées. [54]

The Independent a rapporté que le vol 93 transportait "30 tonnes de courrier en Californie" quand il s’est écrasé. [55] Selon Roger Bailey, dans les jours suivant le 11-Septembre, du courrier trouvé sur le lieu de l’accident était rassemblé dans un bac de recyclage et le bureau de poste envoyait périodiquement un camion postal pour l’emporter. [56]

Mais si le compte rendu officiel de ce qui s’est passé pour le vol 93 était correct, il est évident que les documents en papier fragiles et inflammable étaient bien plus susceptibles d’être détruits dans l’accident que des restes humains et des débris métalliques de l’avion. Et pourtant, le papier semble avoir été le matériau qui a le mieux résisté. Serait-ce dû au fait que les débris de papier étaient, tout comme l’épave de l’avion, des débris placés là et destinés à simuler un site d’accident et pour accréditer la thèse officielle ?

Parmis les papiers figuraient des biens appartenant aux pirates présumés

Certains papiers découverts sur le lieu de l’accident ont servi à étayer la version officielle des attentats du 11/9 et en désigner les responsables. Par exemple, selon les agents du FBI qui ont participé à l’enquête sur place, des papiers et d’autres affaires ayant appartenu aux pirates présumés ont été trouvés. Cela incluait leurs licences de pilotes, leurs cartes d’identité et passeports, une carte de crédit, des reçus, des tickets, un bandana rouge, des pages du Coran, et "une check-list rappelant aux terroristes comment se fondre dans l’anonymat au moment de l’embarquement et leur demandant de "se raser la barbe." Se référant à des éléments trouvés sur le prétendu site du crash du vol 93, l’agent du FBI A. Todd McCall a déclaré que les pirates de l’air "pensaient que leur papiers d’identité seraient détruits lors des attentats", mais, a-t-il ajouté, "Ils se trompaient." [57]

Mais si des personnes qui travaillaient pour l’armée américaine et d’autres organismes gouvernementaux faisaient partie des véritables auteurs des attentats, l’implantation de ces éléments avait des avantages évidents. La présence de ces objets sur les lieux de l’accident détournait les soupçons des véritables auteurs pour les diriger vers des terroristes musulmans.

D’autres documents sont miraculeusement restés intacts, dont deux bibles. Plusieurs témoins ont remarqué l’une d’elles sur la scène de l’accident. [58] Terry Wills Shaffer et Sam se rappelait avoir vu "des débris minuscules … éparpillés autour du cratère d’impact laissé par l’avion." Cependant, ils ont dit qu’à "environ 5 mètres du cratère … se trouvait bien en évidence, une bible qui, curieusement, était intacte." [59] Wallace Miller a vu l’autre bible qui a été retrouvée sur la scène de l’accident dans un entrepôt où les biens des victimes étaient conservés. [60]

Est-ce que ces bibles auraient pu être placées là comme élément de la propagande pour la "guerre contre le terrorisme" que les attentats du 11/9 allaient initier ? Ou peut-être qu’elles étaient censées symboliser les "bons" chrétiens, passagers et membres d’équipage, qui avaient courageusement et généreusement pris le dessus sur les "méchants" terroristes musulmans.

Les boîtes noires du Vol 93 ont été trouvées enterrées à des endroits différents

Un autre détail qui suggère que les débris ont été placés à l’emplacement de l’accident présumé du vol 93 est l’endroit où les "boîtes noires" ont été trouvées. Un avion emporte deux boîtes noires : l’enregistreur de données de vol et celui des voix du poste de pilotage. Tous les avions commerciaux sont équipés de ces deux instruments qui enregistrent l’état de l’avion et les conditions du vol. Ils sont montés dans la queue de l’avion. [61]

Les boîtes noires du vol 93 ont été trouvées dans le cratère sur les lieux de l’accident présumé. L’enregistreur de données de vol a été retrouvé dans l’après-midi du 13 Septembre et celui des voix du poste de pilotage a été récupéré dans la soirée du 14 Septembre. [62] De manière significative, bien que les boîtes noires soient situées à côté l’une de l’autre sur un avion, celles du vol 93 ont été trouvées à des profondeurs différentes dans le sol. L’enregistreur de données de vol a été retrouvé à 3 mètres de profondeur et l’enregistreur phonique plus de 8. [63]

L’agent du FBI Wells Morrison a commenté : "C’était étrange. Les boîtes noires sont juste à côté l’une de l’autre sur l’avion, mais l’une a été trouvée 4 mètres plus profondément que l’autre.» En d’autres termes, si le vol 93 s’était vraiment écrasé là, les boîtes noires auraient été trouvées au même endroit. Le fait qu’elles ne l’étaient pas fait penser qu’elles ont été placées sur le site, mais par négligence, à différentes profondeurs dans le sol. Morrison a également fait remarquer que les agents du FBI avaient été «surpris, de ne pas avoir trouvées [les boîtes noires] plus tôt." [64]

Des débris ont été retrouvés à des kilomètres du lieu supposé du crash.

Un autre problème avec le récit officielle, c’est le fait que les débris, provenant apparemment de l’accident, ont été retrouvés loin de l’endroit où l’avion est supposé s’être abattu.

Une pièce de moteur d’un avion, d’un poids d’environ 450 kg, a été retrouvée "à une distance importante" du site du crash présumé, selon Lyle Szupinka. [65] John Marshall, un agent du service incendie de la police d’Etat et enquêteur criminel qui a trouvé cette pièce, a déclaré qu’il était "A 500 mètres de l’emplacement de l’accident." [66]

D’autres débris ont été trouvés près d’un étang par le pompier Mike Sube et deux de ses collègues. Cela comprenait "une partie du train d’atterrissage et le fuselage", selon Sube. Sube a déclaré que "l’un des pneus était encore intact avec son support, et sans doute environ trois à cinq hublots du fuselage étaient en un seul morceau." [67]

Certains débris ont été trouvés autour de l’Indian Lake, à plus de 4 km du site principal du crash. [68] Carol Delasko, qui a travaillé à la marina d’Indian Lake, a déclaré que quelques instants après l’accident, elle a vu un nuage de débris de plusieurs centaines de pieds de diamètre, au-dessus du lac. [69] "ça ressemblait à des confettis tombant partout au-dessus du lac" a-t-elle indiqué. [70]

Tom Spinelli, qui a également travaillé à la marina, a déclaré que le débris était "essentiellement du courrier, des morceaux de magazine de bord, et des bouts de tissu du siège." [71] Brad Boyer, qui pêchait sur le lac, le matin du 11-Septembre, a rappelé qu’il avait entendu "un bruit énorme", puis il s’est mis à "pleuvoir des ordures." Les débris qu’il voyait incluaient du "papier" et du "papier d’aluminium. De petits morceaux" [72] Certains des débris ont atterri sur la ferme de Terry Lowery à proximité. Lowery a dit que cela comprenait "du papier, de l’isolant, et du courrier." [73]

Dans la matinée du 12 Septembre, les débris ont commencé à s’échouer sur la rive du lac. Cela comprenait "quelque chose qui ressemblait à l’os d’une côte au milieu des morceaux de sièges, de petits morceaux de plastique fondu, et les chèques", selon l’employé de la marina Fleegle John. [74]

De plus, certains débris léger ont été retrouvés dans le quartier de New Baltimore, à environ 12 km du site supposé du crash pourtant séparé de lui par une chaîne de montagnes. [75] Une habitante de New Baltimore, Melanie Hankinson, avait été informée par un voisin, "Il y a eu une forte déflagration et de la fumée, puis ces débris ont commencé à souffler à travers votre cour." [76] Hankinson a ensuite trouvé "plusieurs documents financiers, un magazine d’une compagnie aérienne, un manuel de pilotage, et d’autres petits morceaux de débris." [77] Elle se rappelle "Il y avait une certaine sangle noire", apparemment d’isolation qui se trouvait sous le ventre de l’avion. "Beaucoup de gens ont constaté cela," a-t-elle ajouté. [78]

Les débris se sont élevés dans l’air

L’existence de ces champs de débris loin du site principal du crash a conduit certaines personnes à penser que le vol 93 s’est écrasé après qu’une bombe ait explosé à bord, ou qu’il ait été abattu par un avion de chasse américain. [79] Cependant, la quantité de matière découverte sur ces sites semble avoir été assez faible, sans doute beaucoup moins que ce qui aurait dû être trouvé quand un avion pesant plus de 100 tonnes explose en l’air. Par exemple, des agents du FBI n’ont finalement découvert à Indian Lake "qu’un grand sac de débris" selon John Fleegle. [80] Et les débris trouvés à New Baltimore semblent avoir été une quantité assez faible de papier et d’autres matériaux légers.

Qui plus est, Carol Delasko dit que le nuage de débris comparable à des confettis qu’elle vit sur Indian Lake s’était "élevé à environ 70 mètres dans les airs" au moment où l’accident se serait produit. [81] Si ces débris proviennent du disloquage d’un avion en l’air, ils ne se seraient sûrement pas élevé en altitude. Et Brad Boyer a déclaré que ce qu’il a vu descendre sur le lac incluait "des feuilles d’arbre. Beaucoup de feuilles." [82] Des feuilles ne seraient pas tombées d’un avion se désintégrant dans le ciel.

En plus d’être incompatibles avec la version officielle, les faits observés relatifs aux débris additionnels paraissent incompatibles avec les théories alternatives selon laquelle l’avion a été abattu par une bombe ou un missile tiré par un chasseur. Se pourrait-il que ces débris à ces emplacements aient été placés intentionnellement, comme les débris sur le site principal, pour compléter l’impression que le vol 93 s’est abattu à cet endroit de la Pennsylvanie rurale ?

Le chalet dans les bois a été complètement détruit

Les dommages subis par un chalet près du site présumé du crash sont également une autre preuve notable. Le Pittsburgh Post-Gazette a rapporté que "toutes les fenêtres et la porte de la maison" avaient été arrachées, le plafond et le plancher du chalet avaient été détruits en totalité, et une grande partie de l’intérieur également." [83] Les meubles avait été projetés de part et d’autre, le réfrigérateur était tordu et écarté loin du mur, et des objets avaient été éjectés des placards sur le plancher. [84]

Barry Hoover, l’homme qui vivait dans cette maison, a trouvé une grande quantité de débris, provenant apparemment du vol 93, autour de sa maison, y compris des "papiers éparpillés partout … des petits morceaux de câble de partout … beaucoup de petits morceaux de débris fragmentés." [85] Le magasine Now & Then a signalé que des débris de l’impact de l’avion ont "endommagé la structure du chalet", et déplacé de 5 cm ses fondations." [86]

Le garage attenant à la maison a également été gravement endommagé, sa porte "retournée." L’avocat local Daniel Rullo a dit "La façon dont cela m’a été décrit, c’est que [la porte de garage] doit avoir été soufflée, ses ressorts ont sauté, et elle s’est repositionnée à l’envers." [87]

Le chalet censé avoir été endommagé par "l’onde de choc"

Les dommages au chalet de Barry Hoover auraient été causé par les ondes de choc lorsque le vol 93 a heurté le sol. [88] Le Washington Post a décrit, "L’onde de choc du vol 93 … a craché des débris à travers les bois avec une telle force que ça a soufflé toutes les fenêtres et les portes, et ébranlé les fondations de la maison de Barry." [89]

Et pourtant, il semble étrange que cette maison ait subi de tels dégâts, compte tenu des faibles destructions à l’endroit où le vol 93 est censé être tombé. Par exemple, Patrick Madigan a rappelé qu’à l’emplacement présumé de l’accident, "Tout ce qu’il y avait, c’était un trou dans le sol et un tas de débris fumants." [90] William Baker a fait remarquer que la scène du crash "n’a pas vraiment ressemblé à quelque chose d’important." [91] Barry Hoover a déclaré que sa maison, de son côté, "ressemblait à ce que vous voyez après le passage d’une tornade ou d’un ouragan : une ruine totale" [92]

Le chalet de Hoover était "à quelques centaines de mètres" du lieu présumé du crash. [93] Il "se trouvait dans un épais bosquet d’arbres." [94] Pourquoi donc était-il si gravement endommagé ? Se pourrait-il que les dommages aient été créés par les auteurs des attaques du 11/9 dans le cadre de leur tentative de fabriquer des preuves pour soutenir la version officielle ?

De grand quantités de débris de l’avion et de restes humains ont été retrouvés plus tard

Même si de nombreux témoins ont dit avoir vu peu de restes de l’avion sur le site présumé du crash du vol 93, après seulement 12 jours de recherches, le FBI a annoncé avoir terminé son travail sur le site et a affirmé avoir récupéré 95% de l’avion. [95] Et en dépit de l’absence de restes humains remarquée par les témoins, les chercheurs ont été en mesure de trouver environ 1 500 morceaux de tissus humains autour du site, selon le Washington Post, qui, ensemble, pesaient environ 250 kg. [96] Bien que cela ne représente qu’environ huit pour cent du poids total des personnes qui se trouvaient dans l’avion, c’est cependant une quantité considérable à la lumière des récits de témoins qui ont fait des commentaires tels que : "J’ai été surpris de ne pas avoir vu de restes."

Une possibilité qui devrait être étudiée, compte tenu de cet écart entre les récits de témoins et les affirmations que des quantités importantes de débris de l’avion et de restes humains ont été trouvés, c’est que les débris aient été placés à l’emplacement de l’accident présumé dans les jours qui ont suivi le 11/9 au cours des travaux de déblaiement.

Il apparaît qu’il y ait eu une période où le travail sur le site a été arrêté, au cours de laquelle cela aurait pu se faire. Le lundi 17 septembre, les proches des passagers et membres d’équipage du vol 93 sont venus sur place. [97] Tom Bender, un thérapeute qui a soutenu les personnes impliquées dans le travail de recherche et de déblaiement, a rappelé que des "machines", probablement l’équipement destiné à creuser le sol, qui étaient utilisés sur le site ont dû être arrêtées ce jour-là. Certains travailleurs s’en plaignirent plus tard : "Pourquoi nous ont-ils fait arrêter quand toutes les familles sont venues? A leur place, j’aurais aimé voir les gens au travail, essayant de retrouver le corps de mon oncle ?".

Lorsque le déblaiement a repris, les travailleurs ont eu beaucoup plus de succès dans la recherche de l’épave et des preuves reliant les terroristes présumés à ce qui s’était passé à bord du vol 93. Bender se rappelle qu’après la visite des parents des victimes, il "a commencé à entendre parler de rapports indiquant que les sauveteurs trouvaient beaucoup plus de choses qu’ils ne l’espéraient. "les affaires des méchants" fut la terminologie employée." ajoutât Bender, "c’était apparemment un riche gisement de preuves." [98] Est-ce que c’est parce que les débris ont été placés là en profitant de l’arrêt du travail de recherche pour les visites de parents ?

Deux jours après la visite des familles, le Pittsburgh Post-Gazette a écrit : "Comme les investigateurs ont fouillé plus profond sous le point d’impact, les matériaux découverts sont devenus plus nombreux et mieux identifiables que les débris extrêmement fragmentaires trouvés en surface."Le porte-parole du FBI William Crowley déclara : "Plus ils vont plus en profondeur, plus ils trouvent du matériel plus significatif ; Je vais en rester là." [99] Beaucoup de fragments de l’avion ont été déclarés retrouvés "enterrés à 6 à 9 mètres au-dessous du grand cratère." [100]

Des contradictions sur ce qui s’est passé sur le site du crash

Les faits relatifs au vol 93 sont remplis de contradictions, comme l’affirmation selon laquelle une grande partie de l’avion a été récupérée à partir de la scène de l’accident, bien que les témoins disent n’y avoir pratiquement rien vu qui ressemble à une épave de l’avion. Rick King a même noté des contradictions entre des faits qu’il a lui-même observé. King, qui vivait à Shanksville, était debout sur son perron quand l’accident a eu lieu. Il s’est ensuite souvenu avoir entendu "comme un gémissement venant du bruit des moteurs», puis quelques secondes plus tard, a-t-il dit, «la terre tremblait sous mes pieds. Je veux dire mon porche, la maison, tout se mit à gronder." [101]

Pourtant, quand il est arrivé sur le lieu du crash, il n’a rien pu voir " qui évoque vraiment un avion." [102] Voyant, au lieu de cela, du courrier "éparpillé un peu partout," King a commencé à penser que "ce n’était peut-être pas un avion civil" qui s’était écrasé. "Peut-être que c’était un avion postal ou un Learjet ou un avion de transport régional." Mais, a-t-il commenté : "Je ne pouvais pas associer cela avec l’explosion que j’avais entendue et ressentie. Ce devait être quelque chose avec beaucoup de carburant pour faire ce bruit et ce grondement à 3 km jusqu’à la ville." [103]

Certes, si la version officielle du vol 93 était vraie, il y aurait plus de cohérence entre les faits liés à l’accident, puisque trouvant leur origine dans un événement unique. Les contradictions entre les différents éléments de preuve indiquent que le vol 93 ne s’est donc pas écrasé dans ce champ près de Shanksville, mais que les éléments matériels ont été créés et des débris placés là pour tromper les gens sur ce qu’il s’est passé.

Le fait qu’il y ait tant de preuves douteuses et contradictoires, et que les nombreuses anomalies concernant l’accident n’aient jamais été bien expliquées, signifie que le sort du vol 93 reste inconnu. Beaucoup de questions doivent trouver une réponse.

Par exemple, si des débris ont été déposés là pour faire croire qu’un crash d’avion avait eu lieu, quand et comment l’ont-ils été ? Qui les y a mis et quand ? Et surtout, si le vol 93 ne s’est pas écrasé dans ce champ en Pennsylvanie, que lui est-il arrivé ? Quel fut le sort de ses malheureux passagers et membres d’équipage ? Et qui était derrière cet acte épouvantable ?

Ces questions doivent être examinées dans le cadre d’une enquête rigoureuse qui reste à faire sur les attentats du 11-Septembre, dans laquelle les enquêteurs devront suivre minutieusement les preuves où qu’elles les mènent. Jusqu’à cette enquête, le destin du vol 93 doit être considéré comme un crime non élucidé.

Notes :

[50] Bobbie Black, "Witnesses Recall Plane Crash."
[51] David McCall, From Tragedy to Triumph, pp. 31-32.
[52] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, pp. 32, 38.
[53] Sandra Lepley, "International Terror Touches Somerset County." Daily American, September 12, 2001.
[54] Jere Longman, Among the Heroes, pp. 213-214.
[55] John Carlin, "Unanswered Questions: The Mystery of Flight 93." The Independent, August 13, 2002.
[56] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 129.
[57] Jeremy Boren, "Investigators Had to Improvise at Somerset County Crash Site." Pittsburgh Tribune-Review, September 4, 2011; Paul Peirce, "Investigators Tell of Emotions Associated With United 93 Crash." Pittsburgh Tribune-Review, September 10, 2012.
[58] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, pp. 43, 110; Susan Nicol Kyle, "Pennsylvania Firefighters Share Bond With Flight 93 Families";Jerry Bowyer, "Flight 93, the Crater, and the Open Book." American Vision, September 12, 2009; Dennis McCafferty, "Legionnaire Found Miracle in Flight 93 Debris." American Legion, September 9, 2010.
[59] Mike Masterson, "Flight 93: A Hallowed Field." Arkansas Democrat-Gazette, June 13, 2006.
[60] Peter Perl, "Hallowed Ground."
[61] "Setback Over Pittsburgh Black Box." BBC News, September 15, 2001.
[62] Tom Gibb, James O’Toole, and Cindi Lash, "Investigators Locate ‘Black Box’ From Flight 93; Widen Search Area in Somerset Crash."Pittsburgh Post-Gazette, September 13, 2001; Matthew P. Smith, "Flight 93 Voice Recorder Found in Somerset County Crash Site." Pittsburgh Post-Gazette, September 15, 2001.
[63] Jere Longman, Among the Heroes, p. 217; "Frequently Asked Questions (FAQs): Flight 93 National Memorial."
[64] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 115.
[65] Richard Gazarik and Robin Acton, "Black Box Recovered at Shanksville Site"; Dick White, "Town Embraces Role it Never Sought." New Bedford Standard-Times, September 11, 2002.
[66] Joe Pinchot, "Flight 93 Probe Involved Trooper With Local Ties." Sharon Herald, October 8, 2001.
[67] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, pp. 36-37.
[68] "’Black Box’ From Pennsylvania Crash Found." CNN, September 13, 2001.
[69] James O’Toole, Tom Gibb, and Cindi Lash, "Flight Data Recorder May Hold Clues to Suicide Flight." Pittsburgh Post-Gazette, September 14, 2001.
[70] Debra Erdley, "Crash Debris Found 8 Miles Away." Pittsburgh Tribune-Review, September 14, 2001.
[71] Richard Wallace, "What Did Happen to Flight 93?" Daily Mirror, September 12, 2002.
[72] Dennis Roddy, "Flight 93 Work is a Major Stressor for Somerset Coroner." Pittsburgh Post-Gazette, November 3, 2001.
[73] James O’Toole, Tom Gibb, and Cindi Lash, "Flight Data Recorder May Hold Clues to Suicide Flight."
[74] Debra Erdley, "Crash Debris Found 8 Miles Away."
[75] "’Black Box’ From Pennsylvania Crash Found"; Debra Erdley, "Crash Debris Found 8 Miles Away."
[76] Dennis Roddy, "A Year After Explosive Discord, Town Still Seeks Harmony." Pittsburgh Post-Gazette, September 11, 2002.
[77] Mike Wagner and Ken McCall, "Plane Damaged Before Crash." Dayton Daily News, September 14, 2001.
[78] Dennis Roddy, "A Year After Explosive Discord, Town Still Seeks Harmony."
[79] See William Bunch, "We Know it Crashed, But Not Why." Philadelphia Daily News, November 15, 2001; John Carlin, "Unanswered Questions: The Mystery of Flight 93"; Richard Wallace, "What Did Happen to Flight 93?"
[80] Debra Erdley, "Crash Debris Found 8 Miles Away."
[81] James O’Toole, Tom Gibb, and Cindi Lash, "Flight Data Recorder May Hold Clues to Suicide Flight."
[82] Dennis Roddy, "Flight 93 Work is a Major Stressor for Somerset Coroner."
[83] Cindi Lash, "Flight 93 Crash Shook His House Like a Tornado." Pittsburgh Post-Gazette, September 14, 2001.
[84] Janet Frank Atkinson, "Pride and Sorrow: Shanksville, Pennsylvania, and the Aftermath of September 11." Now & Then, Spring 2002.
[85] "Life After Death: Can an Explosion Echo Forever?" Los Angeles Times, October 21, 2001.
[86] Janet Frank Atkinson, "Pride and Sorrow."
[87] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 122.
[88] Cindi Lash, "Flight 93 Crash Shook His House Like a Tornado."
[89] Peter Perl, "Hallowed Ground."
[90] Michael Cowden, "Memories of Flight 93 Crash Still Fresh at 5-Year Anniversary."
[91] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 43.
[92] Cindi Lash, "Flight 93 Crash Shook His House Like a Tornado."
[93] Peter Perl, "Hallowed Ground."
[94] Cindi Lash, "Flight 93 Crash Shook His House Like a Tornado."
[95] Tom Gibb, "FBI Ends Site Work, Says no Bomb Used." Pittsburgh Post-Gazette, September 25, 2001.
[96] Peter Perl, "Hallowed Ground."
[97] James O’Toole, Michael A. Fuoco, and Tom Gibb, "First Lady Meets Flight 93 Families at Somerset Site." Pittsburgh Post-Gazette, September 18, 2001; Vicki Haddock, "Heroes of Flight 93 Honored." San Francisco Chronicle, September 18, 2001.
[98] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 146.
[99] Tom Gibb and James O’Toole, "Support of Strangers in Somerset County a Boost to Survivors of Flight 93 Victims." Pittsburgh Post-Gazette, September 19, 2001.
[100] Dick White, "Town Embraces Role it Never Sought."
[101] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, p. 29.
[102] "First Fireman on Scene of Flight 93 Crash Reflects on 9/11." WFMY News 2, September 6, 2011.
[103] Glenn J. Kashurba, Courage After the Crash, pp. 32-33.