"Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'Opinion" Paul Valéry

30 avril 2009

Selon 9 scientifiques, la poussière des ruines du World Trade Center contenait un mélange aluminothermique actif

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Après la récente parution dans un journal scientifique de l’article de 9 chercheurs concluant à la présence de nano-thermite dans les poussières du World Trade Center, et l’interview de l’un d’entre eux, Niels Harrit, expliquant à la TV danoise la nature de leurs travaux.
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Photographies au microscope des 4 échantillons utilisés pour l’étude
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Vidéo :
11 Septembre: La preuve que des explosifs ont démoli le WTC



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Nous avons découvert des fragments particuliers rouge et gris dans tous les échantillons de poussière provenant de la destruction du World Trade Center (WTC) que nous avons étudiés. Quatre de ces échantillons, récoltés sur différents sites, font l’objet de cette étude et dans chacun d’entre eux, ces fragments rouge et gris comportent des similitudes. Un résident de Manhattan a recueilli un échantillon environ 10 minutes après l’effondrement de la seconde tour, deux autres ont été récoltés le lendemain et un quatrième approximativement une semaine plus tard. Les propriétés de ces fragments ont été analysées à l’aide de la microscopie optique, de la microscopie électronique à balayage (MEB), de la spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie (EDS) ainsi que de la calorimétrie différentielle à balayage (DSC). Le matériau rouge contient des grains d’environ 100 nm d’épaisseur, en grande partie composés d’oxyde de fer. Il comprend également de l’aluminium, contenu dans des structures s’apparentant à de toute petites plaques. La séparation des composantes au moyen de méthylacétone a démontré la présence d’aluminium élémentaire. L’oxyde de fer et l’aluminium sont étroitement mélangés dans le matériau rouge. Lorsqu’ils sont enflammés dans un dispositif DSC, les fragments exposés produisent des réactions exothermiques, nombreuses mais faibles, à une température avoisinant 430 °C, ce qui est bien en deçà de la température d’ignition normale de la thermite conventionnelle. Après la combustion, les résidus de ces curieux fragments rouges et gris présentaient clairement de multiples sphères riches en fer. La portion rouge des fragments s’est avérée être un matériau aluminothermique non réagi et hautement énergétique.

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Définition de thermite :
Nom de marque d’une mixture sidérurgique et incendiaire composée d’une fine poudre d’aluminium et d’oxyde métallique, habituellement du fer, produisant une chaleur intense lors de la combustion.
The American Heritage® Dictionary of the English Language, Fourth Edition copyright ©2000 by Houghton Mifflin Company. Updated in 2003. Published by Houghton Mifflin Company. All rights reserved.
La
thermite est un composé pyrotechnique de poudre de métal et d’oxyde métallique provoquant une réaction aluminothermique. (Wikipedia version anglaise)
Il est question de la fusion et de la combustion des structures métalliques.
« Les métaux peuvent brûler si les conditions sont adéquates, de la même façon que le bois ou l’essence. […] Une réaction aluminothermique est un processus impliquant la combinaison et la combustion d’une mixture précise de combustibles métalliques. Cette combustion requiert des températures extrêmement élevées. »
Les lecteurs peuvent tirer leurs propres conclusions quant à la portée considérable de ces constatations.
Bien que les auteurs n’abordent pas la question plus large des attaques du 11 Septembre, leurs conclusions sont directement liées aux causes probables de l’effondrement des édifices du WTC ce jour-là. Leurs constats mettent également en doute la validité du rapport officiel de la Commission d’enquête sur le 11 Septembre.

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Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, Bradley R. Larsen